Tiel a écrit :
En effet la science est impuissante face au fanatisme religieux, j'ai déjà essayé de disctuer avec des créationnistes sur des forums musulmans et chrétiens, dans les deux cas je n'ais jamais vu autant de connerie et de mauvaise foi , sauf peut être avec des extrêmistes de droites mais alors d'autres mais alors sur d'autres sujet que l'évolution!
Le problème de toute manière est que la religion ne fait pas appelle au raisonnement... ainsi tout croyant doit croire aveuglément et avec un tel principe de base la science sera toujours mise de côté...
Le retour de la religion annonce le retour de l'obscurantisme...
Huyustus a écrit :
A mon avis, il n'y a aucun risque de voir disparaître la science, qui reste un vecteur essentiel de la croissance économique à long terme dont nos sociétés ne pourraient se passer, et aussi de la médecine.
Je n'en suis pas si sûr... il n'y a qu'à voir les pays musulmans qui ont été à la pointe de la science, de la culture, de la philosophie, entre le Xe et XIIIe siècle et qui sont maintenant à la traîne de la culture scientifique... En Arabie Saoudite la majorité des étudiants ont choisis des "
études" islamiques et délaissés les études scientifiques... Ce pays pourtant riche ne produit que très peu de publication scientifique et l'on y fait très peu de recherches... La science y est vu comme un monde de perversion... et nombreux sont ceux qui croient encore au conte d'"
Adam et Éve"... Et dans nos pays occidentaux l'on y revient... doucement mais sûrement... déja la plupart de nos contemporains se méfient de la science et ne voit plus en elle un facteur de progrès...
Voir l'article ci-dessous:
http://science-islam.net/breve.php3?id_breve=546
Je cite: "
moins de 0.1 % des publications scientifiques dans le monde sont produites par les musulmans ; aucun pays arabe ne dépense plus que 0.2 % de son budget sur la science ; il y a une absence quasi-totale d’émissions et de documentaires scientifiques produits par les medias arabes ; le nombre de périodiques (revues académiques et magazines) scientifiques est tres faible, avec des chiffres de circulation et des standards très bas…"