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Message Publié : 05 Juil 2005 19:15 
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Grégoire de Tours
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http://www.cyberpresse.ca/technosciences/article/article_complet.php?path=/technosciences/article/05/1,5296,0,072005,1092501.php

Enfin, une preuve irréfutable que nos Amérindiens ne nous obligeront pas à enterrer dans leurs cimetières ancestraux ...

Quelle vies extraordinaires durent mener ces Homos qui affrontèrent et exterminèrent la Mégafaune d'Amérique !

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Spartacus avait raison ...


Dernière édition par Hérodote le 05 Juil 2005 23:25, édité 1 fois.

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Message Publié : 05 Juil 2005 19:33 
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Si c'est confirmé, cela change bien des choses. La première traversée du Pacifique remonterait alors à plus de 40 000 ans.


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Message Publié : 05 Juil 2005 19:47 
Ce n'est pas la première égratignure ou félure au dogme du passage durant ladernière glaciation parceque l'on a déjà trouvé d'autres indices en Amerique du sud


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Message Publié : 05 Juil 2005 23:31 
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Grégoire de Tours
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Dans le Yukon canadien, sur les berges d'une rivière on a retouvé un os de caribou travaillé par l'Homme il y a 28,000 ans ...

Mais il y a eu quelques trouvailles au fin fonds de l'Amérique du Sud qui semblent encore plus anciennes.

Mais des traces de pas pétrifiées, c'est une preuve en béton.

Peut-on distinguer les pas d'un Sapiens de ceux d'un Erectus ?

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Message Publié : 05 Juil 2005 23:37 
J'aurais tendance à répondre oui mais je préfere qu'un specialiste vous le confirme et nous explique comme noter la difference


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Message Publié : 05 Juil 2005 23:46 
http://www.bournemouth.ac.uk/news_and_e ... rints.html

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Message Publié : 05 Juil 2005 23:56 
les differentes routes de migration possibles et les lieux de découvertes

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http://www.mexicanfootprints.co.uk/Back ... acific.htm


K = Kennewick man


S = Spirit Cave Man


Clo = Clovis Site


M = Meadowcroft


A= Arlington Springs, Santa Rosa Island


Pe = Pericues


P = Peñon Woman III


J = Quebrada Jaguay


L = Luzia Skull


Mo = Monte Verde



= Human skeletons



= Early sites


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Message Publié : 06 Juil 2005 17:58 
La même équipe de chercheurs à propos du crane trouvé au Mexique qui daterait de 12 700 ans avec l'hypothèse "trans pacifique"

http://www.cybersciences.com/Cyber/3.0/N3518.asp


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Message Publié : 07 Juil 2005 10:39 
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J'ai ça :
Citer :
État de Bahia (Brésil) :
- cailloux taillés datant de 250 000 ± 45 000 av. J.-C., mais on conteste qu’il s’agisse d’artefacts (2001, Quid 2002, 88b)

100 000 av. J.-C. :
- homme moderne en Amérique, en passant par le détroit de Béring émergé (1996, La plus belle histoire du monde, 148)

50 000 av. J.-C. :
- ancêtres des Amérindiens en Amérique (1992, L’aube de l’humanité, 130)

Pedra Furada (Nordeste, Brésil) :
- 46 500 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- 45 000 av. J.-C. (plus aucune autre trace d’hommes dans le continent américain jusqu’en 18 000 av. J.-C.) (1999, Le Point 1377, 138-142)
- 40 000 av. J.-C. (2000, Histoire de l’humanité – « De la préhistoire aux débuts de la civilisation », 25)
- 30 000 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- 29 000 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- 27 000 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- 21 000 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- fréquentation assidue entre 20 000 et 12 000 av. J.-C. (2000, Histoire de l’humanité – « De la préhistoire aux débuts de la civilisation », 25)
- 10 000 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- 4000 av. J.-C. (1989, S&A 512, 68)
- traces d’occupation humaine (1999, Le Point 1377, 138-142)
- 110 foyers (1989, S&A 512, 68)
- entre 60 000 et 25 000 av. J.-C., l’Australie et le Japon sont abordés par des bateaux venus d’Asie ; les hommes auraient pu longer la côte américaine du nord au sud, même en dix ans avec des bateaux très primitifs ; avec la hausse du niveau des mers, une partie de ces sites côtiers se trouveraient aujourd’hui sous l’eau, ce qui expliquerait qu’on ne les ait pas retrouvés (1989, S&A 512, 70)
- l’agriculture et l’urbanisation plus étendues en Amériques ont pu détruire ou dissimuler un certain nombre de sites (1989, S&A 512, 70)
- il y a différentes façons de chercher : les découvertes de Pedra Furada ne se sont pas faites en 2 mois mais couronnent un travail de 19 ans et 10 ans de fouilles (1989, S&A 512, 70)

45 000 av. J.-C. :
- homme en Alaska (2000, Histoire de l’humanité – « De la préhistoire aux débuts de la civilisation », 448)
- homme au Brésil (1989, S&A 512, 68)

40 000 av. J.-C. :
- homme moderne au Texas (1981, L’évolution de la vie, 296)

36 000 av. J.-C. :
- homme au Nouveau-Mexique (États-Unis) (1991, S&A 532, 11)

Je crois qu'il s'agit d'une fausse révolution et que certaines "écoles" paléontologiques s'ignorent les unes les autres par rivalité et susceptibilité, ce qui expliqueraient pourquoi certaines annoncent des résultats que d'autres ont découverts plusieurs années auparavant.

Néanmoins, c'est intéressant et ça enrichit la collection de données sur l'occupation humaine des Amériques au quaternaire.


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Message Publié : 07 Juil 2005 23:55 
Les Inuits

Citer :
Partis il y a 3500 ans de la lointaine Sibérie et de la Béringie, de petits groupes de chasseurs traversèrent le détroit de Béring et découvrirent de nouveaux espaces libérés par la fonte des glaciers.


http://www.participez.com/reportage.php?id=76

Citer :
D'après les recherches archéologiques, les Inuit auraient vécu longuement dans les régions sibériennes au Pléistocène (SIC?). Trois ethnies ont vraisemblablement franchi le détroit de Behring, il y a 8 à 10 000 ans, pour atteindre l'Alaska.


http://www.museum-lyon.org/apedagogique ... stoire.htm


Alors glaciation ou pas, il se traverse ce détroit de Behring


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Message Publié : 21 Juil 2005 21:40 
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Localisation : Aquae Sextiae
J'ai vu il y a quelques temps un reportage très intéressant sur les différentes migrations, en Amérique, des européens au cours de la préhistoire. En effet, ils expliquaient qu'une partie de l'atlantique était à différentes périodes recouvert de glace et qu'il pouvait être un point de passage évident des européens.

Plusieurs type d'outils préhistorique (fait avec une technique propre à la région) trouvés en France ont été retrouvé dans une partie des États-Unis. Malheureusement, j'ai très peu de souvenirs de l'émission donc pour les détails...

Amicalement. Laetitia.

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Message Publié : 22 Juil 2005 9:07 
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Inscription : 15 Juil 2005 11:04
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Bonjour,

*Beloved* a écrit :
J'ai vu il y a quelques temps un reportage très intéressant sur les différentes migrations, en Amérique, des européens au cours de la préhistoire. En effet, ils expliquaient qu'une partie de l'atlantique était à différentes périodes recouvert de glace et qu'il pouvait être un point de passage évident des européens.


Pour ma part, je suis très dubitatif sur les explications de passage d'un continent à un autre par les voies "glaciaires". Je m'explique :

De tout temps les glaciers et calottes ont toujours constitué des obstacles quasiment infranchissables. Même de nos jours il convient d'être super-équipé pour ne pas risquer de pépin.

Imaginez à l'époque préhistorique :
- glacier = crevasses, dégels locaux, terrain tout sauf uniforme, blizzards, ours, etc. Froid intense permanent de -20, -30°
- inlandsis : se termine quasiment toujours en falaise sur la côte. Il faut grimper pour arriver sur le plateau. Dangereux et réservé aux super-motivés. En outre, la calotte est toujours précédée d'une zone plus ou moins large de banquise, obstacle redoutable que l'on ne franchira vraiment qu'au XIXe.
- déplacements à pied. On va dire 20 kms/jour au mieux
- abris : aucun. Sauf à faire des igloos (minimum d'outils)
- nourriture : aucune. Nécessité d'emporter des tonnes de nourriture pour espérer survivre. Rappelons nous la tragédie de Scott en 1911 au Pôle Sud
- chauffage : aucun arbre, aucune bouse, rien qui puisse brûler
- longueur à couvrir entre Europe et Amérique sur glacier : 3000 kms au minimum. Plusieurs mois de traversée.
- individus : pour créer un noyau en Amérique, il aurait fallu que cela concerne au départ une tribu de plusieurs dizaines d'individus.

Autre variante liée aux ponts glaciaires : le cabotage en bordure. Mais là encore, même au Moyen Age les navires ne s'aventuraient pas aux abords des zones glaciaires compte tenu au premier chef des dangers absolus de la navigation dans ces zones. Sans parler de la raison profonde : pour y chercher quoi ?

Autant le cabotage en lisière du pont du détroit de Béring entre Asie et Amérique me parait plausible, du fait que l'arc méridional de la côte d'Alaska et du Canada semble avoir toujours été, plus ou moins, libre de glaces, et donc les distances à parcourir au travers de secteurs galcés sont finalement assez courtes, autant dans l'Atlantique Nord cela me parait relever de la pure théorie.

La différence avec l'exemple des inuits réside dans le fait que, même s'ils parcourent régulièrement l'inlandsis ou la banquise (avec des chiens, soit dit au passage, dont la domestication semble remonter au début du néolithique), en réalité leur mode de (sur)vie est lié aux zones rocheuses littorales et aux ressources de la mer.

Bruno

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Message Publié : 16 Août 2005 15:18 
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Inscription : 11 Mars 2005 14:59
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Localisation : Torcy, Brie française
Je reproduis ci-dessous un petit article paru dans Science & Vie d'août :
"Les premiers Amérindiens venus par le détroit de Béring il y a environ 14 000 ans seraient beaucoup poins nombreux que ce que l'on pensait. En comparant 9 séquences d'ADN d'individus du Nord-est de 'Asie et d'individus amérindiens, Jody Hey généticien à la Rutgens University (New Jersey), a montré que le Nord-est asiatique était peuplé à l'époque de quelque 9000 individus en âge d'avoir des enfants et que moins d'1% d'entre eux aurait effectué le voyage en Amérique. Seulement 70 personnes accompagnées de leurs enfants seraient donc à l'origine de toutes les peuplades amérindiennes. Jody Hey concède cependant que des migrations ultérieures ont pu renforcé cette population"
En fait, la dernière phrase vient condredire en grande partie tout le début du texte.

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Jules Laforgue


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Message Publié : 17 Août 2005 0:11 
bcordelier a écrit :
Bonjour,

*Beloved* a écrit :
J'ai vu il y a quelques temps un reportage très intéressant sur les différentes migrations, en Amérique, des européens au cours de la préhistoire. En effet, ils expliquaient qu'une partie de l'atlantique était à différentes périodes recouvert de glace et qu'il pouvait être un point de passage évident des européens.


Pour ma part, je suis très dubitatif sur les explications de passage d'un continent à un autre par les voies "glaciaires". Je m'explique :

De tout temps les glaciers et calottes ont toujours constitué des obstacles quasiment infranchissables. Même de nos jours il convient d'être super-équipé pour ne pas risquer de pépin.

Imaginez à l'époque préhistorique :
- glacier = crevasses, dégels locaux, terrain tout sauf uniforme, blizzards, ours, etc. Froid intense permanent de -20, -30°
- inlandsis : se termine quasiment toujours en falaise sur la côte. Il faut grimper pour arriver sur le plateau. Dangereux et réservé aux super-motivés. En outre, la calotte est toujours précédée d'une zone plus ou moins large de banquise, obstacle redoutable que l'on ne franchira vraiment qu'au XIXe.
- déplacements à pied. On va dire 20 kms/jour au mieux
- abris : aucun. Sauf à faire des igloos (minimum d'outils)
- nourriture : aucune. Nécessité d'emporter des tonnes de nourriture pour espérer survivre. Rappelons nous la tragédie de Scott en 1911 au Pôle Sud
- chauffage : aucun arbre, aucune bouse, rien qui puisse brûler
- longueur à couvrir entre Europe et Amérique sur glacier : 3000 kms au minimum. Plusieurs mois de traversée.
- individus : pour créer un noyau en Amérique, il aurait fallu que cela concerne au départ une tribu de plusieurs dizaines d'individus.

Autre variante liée aux ponts glaciaires : le cabotage en bordure. Mais là encore, même au Moyen Age les navires ne s'aventuraient pas aux abords des zones glaciaires compte tenu au premier chef des dangers absolus de la navigation dans ces zones. Sans parler de la raison profonde : pour y chercher quoi ?

Autant le cabotage en lisière du pont du détroit de Béring entre Asie et Amérique me parait plausible, du fait que l'arc méridional de la côte d'Alaska et du Canada semble avoir toujours été, plus ou moins, libre de glaces, et donc les distances à parcourir au travers de secteurs galcés sont finalement assez courtes, autant dans l'Atlantique Nord cela me parait relever de la pure théorie.

La différence avec l'exemple des inuits réside dans le fait que, même s'ils parcourent régulièrement l'inlandsis ou la banquise (avec des chiens, soit dit au passage, dont la domestication semble remonter au début du néolithique), en réalité leur mode de (sur)vie est lié aux zones rocheuses littorales et aux ressources de la mer.

Bruno



Les chiens ont été domestiqués bien avant le néolithique.

Quand aux techniques utilisées par les Inuit et autres peuplades qui vivent dans les zones artiques, pour survivre sur la glace et faire des igloos, elles ne necessitent pas d'outils métalliques, pas plus que de bois pour faire du feu.

Une peuplade qui aurait vécue en bord de mer glaciaire en Europe occidentale de la peche au phoque selon le même mode de vie que les Inuits aurait certainement pu vivre sur une banquise reliant les deux continents et dont le tracé exact reste inconnu et par conséquent passer d'une rive à l'autre en plusieurs générations


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Message Publié : 16 Sep 2005 14:37 
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Hérodote
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Inscription : 05 Sep 2005 13:38
Message(s) : 21
Bonjour à tous.

Citer :
passer d'une rive à l'autre en plusieurs générations

Là, j'aimerais que l'on m'explique quel était l'intérêt, pour les Inuit, d'aller vivre sur la banquise pendant plusieurs générations. Plus agréable? Plus de nourriture? Trop chaud ailleurs? Goût pour risquer sa vie à chaque débâcle, et d'ailleurs aussi entre temps?

Je souhaiterais que l'on examine d'abord sérieusement ces preuves, en se souvenant du crâne de l'homme de Piltdown: un faux grossier, blague de potache sans doute au départ, mi homme moderne mi singe, avec des conséquences énormes en Grande-Bretagne, et que l'on n'a jamais remis en question, simplement parce que l'on "voulait", en Grande-Bretagne, avoir enfin découvert un crâne d'homme préhistorique aussi ancien, ou presque, que sur le continent. Il y a plus de rumeurs que de preuves.

J'insiste, même si nous ne sommes plus à cette époque-là, parce que cela fait des années qu'une des écoles américaines "veut" tenir sa preuve de l'origine atlantique. Ne serait-ce que pour promouvoir une carrière devant les journalistes. (Et peut-être aussi parce qu'une origine asiatique leur plairait moins?) C'est dans ce cas-là qu'on risque le plus de se tromper... quand on le souhaite. Et j'ajouterai que les américains passent beaucoup de temps devant les journalistes pour obtenir des crédits (il faut des résultats!) et peu de temps à rectifier les fausses annonces faites devant eux, car il y en a; quand on voit que la NASA se met à parler des petits hommes verts qu'on découvrira avec le prochain voyage spatial, chaque année, au moment où on va voter son budget... :roll: donc je me méfie.

D'autre part, on possède bien plus qu'une empreinte de pas en faveur d'une origine asiatique, rappelons-le, à commencer par les similarités génétiques (ADN).
Pourrait-on donc, d'abord, vérifier la qualité de la preuve? Les résultats sont-ils vérifiés par des pairs et publiés dans une revue scientifique, ou s'agit-il d'une annonce médiatique pour des journalistes seulement, ce qui est déjà nettement moins sérieux?


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