Atlante a écrit :
Peut-être aussi pour des motfis religieux : les plus anciens sites turcs (vers 9000/8000 av. JC), de forme circulaire, sont d'abord voués aux dieux. On peut supposer que l'apparition de ces temples a conduit les hommes à bâtir des villages, puis des villes à proximité.
Dans les sociétés semi-nomades, il éxiste souvent des centres religieux (qui regroupent souvent aussi des centres d'artisanats et des lieux de marchés). Ces centres urbains vivent un peu différemment du reste de la population. Bien sur, ces villes et villages, ont tendance à devenir des points de fixation. mais l'ensemble de la population ne peut se fixer que si elle sait vivre de manière sédentaire. Il éxiste des exemples de tels centres urbains qui ont perdurés pendant de longues périodes sans que la population qui s'en servait ne se fixe. Ils occupent très peu de personnels en dehors de certaines grandes occasions, ou la population peut en très peu de temps passer de quelques centaines à plusieurs dizaines de milliers de personnes. Pour ensuite, dès que l'occaion est terminée, retomber au nombre précedent.
ensuite, si les premiers batiments en durs semblent bien être des temples, rien ne permet d'affirmer si ce ne sont pas les temples qui se sont installés là parce qu'il y avait un centre d'intérêt.
Il éxiste ainsi des sites paléolithique et mésolithique qui semblent montrer des signes d'occupation artisanale continue au semi-continue. Il s'agitr entre autres des carrières de bonnes pierres, dans certains cas, ils sont associés à des sites de débitages d'outils lithiques finis ou semi-finis (ce qui veut dire que l'on n'y a pas retrouvés de traces d'outils finis abimés ou ratés).
Les scénarios plausibles sont :
- des groupes humains arrivaient occaionnellement sur ces sites pour une campagne de travail. Campagne qui se déroullait ainsi, extraction des blocs de pierre, débitage des blocs ce qui permet de ne traonsporter que la matière utile, réalisation d'outils et abandon du site jusqu'à une nouvelle campagne.
- un groupe réduit d'artisans restait sur place. Il était ravitaillé par les utilisateurs des outils.
- un groupe d'artisans restait sur place, avec un groupe d'huamin qui servait à leur approvisionnement. régulièrement devait avoir lieu des marchés ou des acheteurs venaient échanger les outils avec diverses denrées ou d'autres objets. Ce troisième mode est suspecté quand sur place on trouve des magasins de stockages ou des greniers.
Si ce centre artisannal devient un lieu de rendes-vous important dans la vie de la communauté, on peut y voir apparaitre un lieu de culte qui regrouperait lors de grands rassemblements toutes une communauté.