J'avais vu ce film en 1968 ou 1969, lors de vacances en Espagne ! c'est loin. Mais j'avoue que je m'y suis ennuyé. A part la première partie avec les singes, je n'avais rien compris au film. Tout me paraissait lent et trop long, depuis la "danse" du vaisseau au son du Beau Danube Bleu, jusqu'à la fin où, après un longue descente colorée, Bowman se retrouve dans cette chambre (somme toute pas éloignée de nos logements actuels).

Pour essayer de comprendre, j'ai acheté le roman tiré du film, puis la suite (2010, l'Odyssée II). Rien de concluant non plus. Finalement, c'est cette animation qui me semble plus compréhensible.

Ah ben, c'est un film de science-fiction tout de même !
A mon avis, mieux vaut éviter de limiter ce que l'on voit à n'être que des symboles ! Le film de Kubrick n'est pas purement symbolique !
A partir du moment où l'on sait que le film appartient au genre de la science-fiction, il faut aussi se résoudre à voir dans le Monolithe autre chose qu'un pur symbole...
Donc, le Monolithe (vivant ou pas) est vraisemblablement d'origine extra-terrestre... Ce que la suite du film semble confirmer, d'ailleurs !
A part ça, rien n'interdit au spectateur d'octroyer une valeur symbolique au Monolithe !

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

Orange mécanique est également difficile à comprendre et tourne autour du thème de la violence et de la société. Un autre film marquant de la puissance de Kubrick. Un choc des images exceptionnel comme toujours chez ce perfectionniste terreur des producteurs car il ne finissait jamais de tourner et les budgets s'envolaient. Il pouvait tourner un plan plus de cent fois et il fallait que les acteurs fassent exactement ce qu'il avait en tête. Il était très directif et avait des exigences précises sur tout.

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Heureux celui qui a pu pénétrer les causes secrètes des choses. Virgile.

A partir de faits réels (perfectionnisme et durée des tournages), vous tirez une idée fausse. La Warner était très attachée à lui, et le financement n'a jamais posé de réel problème car, même si les tournages traînaient en longueur, les équipes étaient réduites par rapport à bien des superproductions. Pour la Warner, il s'agissait d'un bien modeste investissement pour un retour quasi-assuré, généralement en termes de succès critique et public, et dans tous les cas en termes d'image de marque (être le producteur d'un génie reconnu est un titre de gloire qu'on conserve jalousement).

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Ad augusta per angusta
"Nul n'est plus esclave que celui qui se croit libre sans l'être..." Goethe

Pour moi, c'est le plus mauvais film de Kubrick . Long et ennuyant, incomprehensible, aucun humour , je ne l'ai jamais vu en entier , je me suis toujours endormi dans mon fauteuil .
Avec le recul d'aujourd'hui, c'est comique de voir comment on imaginait l'an 2000 dans les années 60/70.
Le film doit son succés uniquement à la musique de son générique.

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- "Heil Hitler !"
- "Heil Myself !"

"To Be or not To Be" - Ernst Lubitsch (1942)

Rappelons que Also sprach Zarathustra (Ainsi parlait Zarathoustra) a été composé par Richard Strauss en 1896...
Soit, environ 70 ans avant le tournage du film de Stanley Kubrick.

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard