Soit. Je suis intolérant. Tant pis (ou tant mieux)
Mais tout de même, ne peut-on pas écouter nos remarques comme une hypothèse, simplement une hypothèse. Car:
Citer :
vous vous posez la question du pourquoi de cette œuvre?
Certes, certes, mais vous, y répondez-vous, à cette question?
Alors oui, jusqu'à ce qu'on m'y réponde de façon convaincante, je ferai l'hypothèse que cet art est une insulte aux gens qui le regardent, et qui, pour certains, sont heureux de se faire insulter.
Je vis à la campagne. Mon voisin a des dizaines de vieux pneus empilés dans un coin de sa basse-cour. J'ignore pourquoi, est-ce une œuvre d'art ? Et puis j'ai vu à Paris, devant la gare Saint-Lazare, quelqu'un a empilé toutes les horloges hors service au milieu de la place, Il parait que c'est une œuvre d'art.
Mais soit, je préfère le beau au laid, je suis donc inculte. (je sais, c'est subjectif, mais en l'occurrence il me semble que le laid est revendiqué par les artistes)
Je préfère Musset à mon (néanmoins) ami qui empile des mots (comme l'autre ses pneus) et méprise Musset. Je suis donc inculte.
Mécréant, j'ai été ému aux larmes devant la Piéta (inachevée) de Michel-Ange au musée de Milan, et énervé par les commentaires entendus à ce moment-là, devant cette œuvre, par une étudiant en art .Car un commentaire devant une telle œuvre est, selon moi, mépris pour ceux à qui ils s'adressent et prétendent
expliquer. (je veux dire en ce lieu, bien sûr pas dans l'absolu)
L'empileur d'horloges est
autant sculpteur que Michel-Ange
Mais d'après vous, je suis hors sujet. Alors, allez-y, expliquez nous pourquoi la merde mise en boite cesse d'être de la merde.
Dans à vos qualificatifs à notre égard, il manque un mot: réactionnaire. Oui, si l'action c'est ça, alors réagissons.
PS: par ailleurs, je n'ai pas vu les mots "débiles profonds" dans nos discours. Ces mots ne sont en tout cas pas une insulte, mais correspondent à un vraie pathologie, (parfois cachée sous des appellations différentes) dure à vivre pour celui qui en est atteint et pour son entourrage. ( Là j'ai la rage).