Si on se limite aux romans, en excluant les nouvelles (ce qui exclut tout Borgès, quelle injustice !), je dirais, en vrac :
Le Maître et Marguerite, de Boulgakov, Tout Céline, avec en tête de liste Le Voyage au Bout de la Nuit et Mort à Crédit, Les Mémoires d'Hadrien, de Yourcenar, ainsi que L'Oeuvre au Noir, Cent Ans de Solitude, de Garcia Marques, Tout Kafka, avec en tête Le Procès, Gatsby le Magnifique, de Fitzgerald, La Guerre de la Fin du Monde, de Vargas Llosa Les Faux-Monnayeurs, de Gide, Un Roi Sans Divertissement, de Giono Les Trois Mousquetaires, de Dumas, Crime et Châtiment, de Dostoïevski, L'Illiade, d'Homère La Mort est mon Métier, de Merle, Sinouhé l'Egyptien, de Waltari, Fondation, d'Asimov (les 3 premiers),
Enfin, je dis tout cela de mémoire, je ne suis plus grand lecteur de romans depuis une bonne quinzaine d'années.
_________________ Les facultés de conceptualisation de l'empereur Constantin paraissent avoir été très limitées ; malgré de longues séances, les évêques ne semblent pas avoir réussi à lui faire bien comprendre la différence qui séparait l'orthodoxie de l'arianisme. (Y. Le Bohec)
Bref, un homme "au front étroit mais à la forte mâchoire" (J.P. Callu)
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