Bonjour à vous,

J'ai bien utilisé la fonction "rechercher" mais je ne trouve pas de sujet parlant de cela, si toutefois il existe, que les modos déplacent mon topic comme bon leur semble.

Je sais qu'il y a de nombreux ouvrages là-dessus mais c'est à vous, membres passionnés, que je m'adresse. Racontez-moi les anecdotes les plus farfelues ou pas, parlez-moi des décors de ces dits salons, citez-moi les relations amoureuses ou haineuses qui ont pu se tisser dans ces lieux...bref je veux tout savoir!

Au fait la fin des salons littéraires datent de quand?
Peut-on dire que les cafés littéraires sont une suite aux salons ou il n'y a aucun rapport?

Au plaisir de vous lire donc.

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Certains jours, j'ai rêvé d'une gomme à effacer l'immondice humaine. Journal du surréalisme Aragon

Les salons littéraires - dont la première forme en France fut les cours d'amour médiévales - ont vraiment démarré au XVIème siècle et ils durent encore (il y en eut même sous l'Occupation). Ils ont été le cadre privilégié de la plupart des "bons mots" d'hommes et de femmes célèbres rapportés par les historiens et de pas mal d'histoires "croustillantes" voire pornographiques, en même temps que le lieu de tous les ragots. Le meilleur (ou le pire) exemple de ce qu'il en résultait est le journal des frères Edmond et Jules de Goncourt.

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"L'histoire serait une chose merveilleuse si seulement elle était vraie."
Léon Tolstoï.

L'auteur de ce site a répertorié un certain nombres de salons à différentes époques .

Je pense en effet que les cafés ont succédé en quelque sorte aux salons.
Ainsi, certains cafés parisiens se sont véritablement révélés être des "lieu de culture" dans le sens où l'on y discutait littérature, art, politique...
Je pense bien entendu au café de Flore, crée dans les années 1880 ou encore au plus ancien café des Deux-Magots, crée en 1885.

Quelqu'un pourrait-il me citer d'autres cafés ayant joués ce rôle, à Paris et dans d'autres grandes villes?

Merci à vous pour ces informations...

Mais je veux des petites anecdotes moilà, je suis sûre que vous en avez quelques unes de derrière les fagots

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Certains jours, j'ai rêvé d'une gomme à effacer l'immondice humaine. Journal du surréalisme Aragon