La NRH a récemment été victime d'une décision tout à fait inique de la quatrième Chambre A de la Cour d'appel de Paris, la condamnant à verser une amende de 45000€ et à ne plus utiliser son titre. La Cour a en effet jugé que le titre du bimensuel, La nouvelle revue d'Histoire, était trop proche de celui d'une obscure revue, La revue de l'Histoire, laquelle ne parait plus aujourd'hui et dont le propriétaire avait porté plainte contre la NRH en 2003. Plus de détails ici. Il est évident qu'au travers de cette farce, c'est la ligne éditoriale de la revue qui est visée. J'encourage tous ceux qui apprécient la revue à envoyer une contribution afin de la sauver. Les autres, et je pense aussi aux accusateurs de la revue qui se sont déjà manifestés ici, pourront méditer sur l'élégance du procédé...

A++

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Il me semble parfois que Dieu, en créant l'homme, ait quelque peu surestimé ses capacités. Oscar Wilde

Cela vous étonne Diablophil ? La liberté d'expression en France n'est plus qu'un vain mot.
Comme je le dis toujours : la liberté est une et indivisible. Nuire à la liberté d'expression de quelqu'un c'est en définitif nuire à sa propre liberté d'expression.
La France tombe bien bas.

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Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes.
Pierre Corneille, Le Cid

C'est d'autant plus inique que pour avoir 2 ou 3 exemplaires de "La revue de l'histoire" il saute immédiatement aux yeux que le contenu de cette publication est de bien moins bonne valeur (digressions sans références en fin de revue, absence d'auteurs identifiés...).

Amicalement
Crillon

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"Vingo, vinco ... e riparti !"
Gabrielle d'Annunzio, en 1920, non loin de Fiume...

Vous supposez peut-être que les "accusateurs" approuvent forcément le procédé? Ce n'est pas mon cas, et je n'ai rien à méditer, sinon sur la profondeur de la connerie humaine.
D'ailleurs, je suis revenu lire (en diagonale) le sujet (vérouillé). Et il me semble que les "accusateurs" étaient plutôt ceux (celui ?) qui "accusaient" une autre revue d'avoir des juifs dans son équipe.
La NRH me déplait en raison de la position politique qu'elle revendique, mais je ne vois pas pourquoi on l'empêcherait d'exister.

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

Je n'ai jamais pensé qu'il y avait sur ce forum des gens assez mesquins pour approuver ce genre de procédé. Et je vous serais gré de bien vouloir ne pas inverser les rôles, et de ne pas nous mêler (moi et les autres lecteurs de la revue sur le forum) à votre discussion sur L'Histoire (que je lis tous les mois) avec Frédéric Kisters, laquelle ne regarde que vous.

Maintenant revenons-en aux faits si vous le voulez bien. La NRH, et donc ses lecteurs, a été accusée ici même, par des gens qui manifestement ne l'ont jamais lue, de véhiculer des opinions peu avouables, notamment antisémites (sans prendre la peine de le démontrer, et pour cause puisque c'est pure calomnie). J'ai ainsi eu droit à une "mise en garde" de la part de quelqu'un qui, sans doute en toute bonne foi, se croyait en situation de m'en adresser.

Un peu plus tard, la même personne s'est cru obligée de s'en prendre à un texte de M. Venner, le directeur de la NRH, en l'accusant de n'être qu'un ramassis d'interprétations fantaisistes, et en sous-entendant déjà des arrière-pensées peu avouables chez son auteur. J'ai alors pris la défense de Dominique Venner qui de toute évidence ne fait pas un usage plus fantaisiste de la mythologie que de nombreux historiens dont les thèses sont largement acceptées par l'historiographie dominante (traditions sur les Héraclides qui serait une réminiscence des invasions doriennes en Grèce continentale, épopées indiennes qui conserveraient la trace des invasions indo-européennes, etc).

A suivi l'irruption d'un autre individu qui a continué à attaquer ce texte en déformant mes propos sans jamais se baser sur le texte lui-même, mais uniquement sur les hypothétiques arrière-pensées de son auteur (et de moi-même qui le défendait) comme la suite devait le révéler. J'ai fini par être traité de nazi, pour avoir défendu, non pas la thèse de Venner, mais sa rigueur (et de fait j'attend toujours que quelqu'un me démontre qu'elle est farfelue). Bref je faisais allusion à ceux qui croient pouvoir calomnier quelqu'un ou quelque chose (ici une revue) en toute impunité, au prétexte de protéger les esprits faibles (sic) contre ses hypothétiques mensonges.

Ma dernière phrase ne visait qu'à vous faire méditer sur les méthodes de ceux qui se veulent être des parangons de vertu. J'espérais en particulier que cette farce ferait réflêchir les gens auxquels je fais allusion ci-dessus.


A++

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Il me semble parfois que Dieu, en créant l'homme, ait quelque peu surestimé ses capacités. Oscar Wilde

Un petit aparté:
Dédé a dit:


Dans wikipedia : Cette phrase qui lui est souvent attribuée est apocryphe. Elle n'apparaît nulle part dans son oeuvre publiée. Elle fut en fait formulée en 1906 dans The Friends of Voltaire, livre anglais de Evelyn Beatrice Hall écrivant sous le pseudonyme de S. G. Tallentyre, pour résumer sa position : "I disapprove of what you say, but I will defend to the death your right to say it", avant d'être traduite en français.

http://www.passion-histoire.net_ ... php?t=7735

Soit.
Si ce n'est pas Voltaire, ce sera donc moi
Quant au sujet de la NRH, tout a été dit par ailleurs, c'est pourquoi je ne juge pas utile d'y revenir (et regrette même d'y être revenu)

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

Oui, je trouve aussi qu'il n'est pas très malin de relancer ce débat.
Si vous voulez vraiment parler d'épistémologie et d'historiographie, faites-le, Diablophil. Personnellement, j'en serai ravi. Mais dissassociez vos considérations historiographiques de thèses spécifiques, elles n'en auront que plus de poids et d'intéret.
Voulez-vous que je lance le sujet pour vous ?

Je n'ai pas plus envie que vous de relancer le sujet, et je ne me serais pas laissé aller à le faire si dédé n'avait pas répondu comme il l'a fait. Je voulais juste attirer l'attention des lecteurs de la NRH sur cette condamnation inique et surtout sur ses conséquences pour l'avenir de la revue, en espérant que certains intervenants de Passion Histoire apporteraient leur contribution financière à son sauvetage. La dernière phrase du premier message n'avait d'autre but que d'amener les "sceptiques" vis-à-vis de la NRH à constater que la vertu n'est pas toujours où ils le croient. Mais rassurez-vous je ne me fais pas trop d'illusions...

A++

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Il me semble parfois que Dieu, en créant l'homme, ait quelque peu surestimé ses capacités. Oscar Wilde

On n'a pas pu abattre Dominique Venner physiquement (pas encore) alors par un procès inique on l'étrangle financièrement .Il y a des dogmes "politiquement correct" dont la discussion ou la mise en question est tabou.
La NRH a atteint un niveau de qualité ,en quatre années, qui la situe parmi les meilleurs.Abonnez vous et vous pourrez juger ,même si vous avez parfois un point de vue différent .Pauvre France !

Le lien qu'a fourni Diablophil n'étant manifestement plus accessible je me permet pour les intervenants à ce forum désireux d'envoyer à la NRH une contribution financière de l'adresser à:

NRH
88 avenue des Ternes
75017 PARIS


Amicalement
Crillon

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"Vingo, vinco ... e riparti !"
Gabrielle d'Annunzio, en 1920, non loin de Fiume...