Dans le numéro 345 de l'histoire datant de septembre 2009 la carte blanche* de Pierre Assouline s'intitule "Où sont les notes"
*Au passage vous pouvez me donner votre avis sur cette carte blanche, qui parfois m'agace prodigieusement.
En partant de ce constat qu'avec la crise et les nouvelles contraintes "éditorialistes" on ne pourra plus continuer à éditer les livres d'histoire comme avant.
Il aborde au sein de cette tribune la problématique liées aux notes je vous en retranscrits un passage.
"Les histoiens, qui ont déjà dû faire leur deuil ds index de noms et d'oeuvres, font depuis peu l'expérience d'un autre phénomène : des éditeurs leur demandent désormais de supprimer les notes en bas de page ou même en fin de volume ainsi que les sources afin d'alléger leur livre à tous points de vue.
Comme si tout gage de sérieux et de rigueur, autrefois exigé d'un historien, comme on demande ses références à la personne qu'on va engager, était devenu pénalisant, tant l'allure en serait rébarbative.
Celà se dit peu en France mais en Angleterre non seulement cela se dit mais cela s'écrit "les éditeurs estiment que les notes prennent trop de place et font trop universitaire..."
Je pense que bientôt on remplacera le texte par des dessins avec des planches à colorier, c'est plus vendeur et celà évite de réfléchir