Lisez "La Bible avait raison Tome 2: sur les traces de Moïse et de l'Exode" de Joseph Davidovits, "Les secrets de l'Exode: l'origine égyptienne des Hébreux" de Roger et Messod Sabbah: ils affirment que le peuple égyptien et le peuple hébreu ne seraient qu'un seul et même peuple L'histoire de l'Exode décrite dans l'Ancien Testament ne serait qu'une sorte de "calque" superposée à une vérité ignorée : le peuple égyptien et le peuple hébreu ne seraient qu'un. Pour audacieuse qu'elle puisse paraître, cette thèse part d'un premier constat : en nul endroit dans l'Égypte antique n'est mentionnée la présence d'un peuple hébreu. Messod et Roger Sabbah accumulent éléments et preuves aux fins d'authentifier leur découverte. Ainsi sont comparés rites traditionnels égyptiens et hébraïques ; de même pour les noms qui permettraient de retrouver Joseph dans le pharaon Aï ou de lire le nom de Jéthro dans un cartouche royal. Les auteurs poursuivent leur démonstration en analysant les points communs entre l'alphabet hébreu et les hiéroglyphes, voient des analogies entre les habits de cérémonie de pharaon et ceux des rites sacrés hébraïques (kippa, téfilines, etc.). À chaque chapitre, la Bible est comparée mot à mot avec l'histoire de l'Égypte. Paradoxalement, cette apparente confirmation de la théorie la fragilise. En effet, il semble évident que ces chercheurs hébraïsants ont mis le doigt sur une découverte capitale, qui remet en cause l'idée même d'un peuple "élu". Toutefois, de se vouloir trop convaincants en désirant traduire tous les noms hébreux en égyptien, et de désirer enfermer cette théorie en un espace temps précis met en place quelques incohérences historiques. Il serait dommage que ces faiblesses anéantissent tout le concept. --Jean-Marc Savary --Ce texte fait référence à l'édition Broché .
Au 14ème siècle avant J.C., le pharaon Akhenaton révolutionne l’Egypte en imposant le culte du dieu solaire Aton, la première religion monothéiste de l’histoire de l’humanité. Après sa mort, l’ancien polythéisme sera rapidement rétabli par ses successeurs et sa capitale Akhet-Aton abandonnée. Mais que sont devenus son entourage, le clergé et les adorateurs d’Aton ? Suivant les traces de Freud et après vingt ans d’études bibliques et talmudiques, Messod et Roger Sabbah nous livrent aujourd’hui leur étonnante découverte : déportés en Canaan, province égyptienne, les fidèles d’Aton fondèrent le royaume de Judée et donnèrent naissance au peuple Hébreux, nous transmettant grâce à la Bible la sagesse de l’Egypte ancienne.
Après la disparition d'Akhénaton, le pharaon adorateur d'Aton, vers 1344 av. J.C., sa capitale Akhet-Aton, l'actuelle Tell et Amarna, est désertée. C'est la fin du monothéisme en Egypte. Ce n'est pas pour autant la fin du Dieu unique. Messod et Roger Sabbah, deux chercheurs hébraïsants, ont découvert après vingt ans d'études le message caché de la Bible : le peuple Hébreu, celui de l'Exode, celui dont on ne trouve aucune trace dans l'Egypte historique, n'est autre que ta population d'Akhet-Aton chassée par le Grand Vizir, qui régna peu après Toutankhamon sous le nom de pharaon Ni. Déportés en Canaan, province égyptienne située à quinze jours de marche de la vallée du Nil, les prêtres et les notables monothéistes fondent, quarante années après la campagne militaire de Toutankhamon, le royaume de Yahouda (la Judée).
Messod et Roger Sabbah découvrent de troublantes analogies entre l'alphabet hébreu et l'écriture hiéroglyphique, entre la Genèse et la cosmologie égyptienne. Ils montrent que les noms des personnages de la Bible, Abraham, Moïse, Aaron, Josué, Sarah, Laban, dissimulent les noms et les titres royaux des pharaons de la XIIIe dynastie. Ils retrouvent transcrit le nom d'Akhenaton dans la Bible, notamment grâce à l'histoire de l'ânesse de Balaam qui proclame : "Anokhi Atone-Kha", ce qui veut dire "Je suis ton Dieu Aton", qui deviendra "Anokhi Adonaï", "je suis l'Eternel ton Dieu".
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