Pédro a écrit :
Mais sur ce point je tiens tout de même à préciser que les citoyens romain n'ont pas dédaigné la profession, risquée, de gladiateur tant la gloire pouvait être grande. Les gladiateurs citoyens aliénaient leur liberté au laniste selon les modalités d'un contrat. L'engouement autour de la gladiature se remarque à travers les nombreuses mosaïques, fresques et graffitis qui émaillent les cités romaines. Et même si le gladiateur est un être souillé de la flétrissure de l'esclavage, sa réprobation tient essentiellement à des textes philosophiques de "bien pensants" qui eux même ne dédaignaient pas toujours allez y jeter un oeil. Les femmes de l'aristocratie trouvaient parfois ces combattants très attirant, jusqu'aux jeunes de bonne famille se grimant dans l'arène pour s'encanailler. En cela Commode suit les extravagances de certains jeunes aristocrates.....
Entièrement d'accord avec vous, mais précisément, concourir au cirque concerne des jeunes ou des citoyens sous contrats. Pas des fonctionnaires en exercice comme Messala. De plus, si la profession rapporte de la gloire, des femmes, et peut-être la fortune, il n'est pas évident qu'elle permette ensuite d'intégrer une grande famille, comme le fait Judas Ben-Hur.