Pour l’époque de la fin de la République il y a l’oeuvre de Polybe qui a lutté contre les Romains, puis après la défaite, s’est trouvé otage à Rome. Son avis sur les Romains est une sorte de fascination pour une entité politique, au départ « mineure » qui a été capable de dominer le bassin méditerranéen et la Grèce en finalement peu de temps. Traditionnellement les Grecs ont plutôt tendance à considérer tout ce qui n’est pas grec comme barbare et ontologiquement inférieur. La defaie en invite certain, comme Polybe, à la nuance avec les Romains.
_________________ Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.
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