passion-bourbons a écrit :
(Lyon était restée royaliste, ce qui n'avait pas bien plu à Robespierre), et avoir pris le nom de Commune-Affranchie, elle retrouve son appellation d'origine sous l'Empire. Napoléon voulut par ailleurs faire construire son palas impérial sur la presqu'île. C'est ensuite sous Louis-Philippe que le commerce de la soie a prendre son envol. Mais il sera bien vite coupé lors des révoltes de 1831 et 1834. Les canuts étaien très mal payés malgré le fait qu'il travaillaient énormément.
Un peu nébuleux comme intervention. On y mêle des choses qui n'ont rien à y voir entre elles.
passion-bourbons a écrit :
(Lyon était restée royaliste, ce qui n'avait pas bien plu à Robespierre),
Faux ! Lyon était Fédéraliste ! Elle ne remettais pas en cause la république mais les excès de la terreur parisienne et supportais très mal que tout soit décidé par la Commune insurrectionnelle de Paris .Elle l'avait d'ailleurs démontré en envoyant un ultra révolutionnaire Joseph Chalier à la guillotine
passion-bourbons a écrit :
C'est ensuite sous Louis-Philippe que le commerce de la soie a prendre son envol. Mais il sera bien vite coupé lors des révoltes de 1831 et 1834. Les canuts étaien très mal payés malgré le fait qu'il travaillaient énormément.
Ce n'est pas sous Louis-Philippe car la soie était ancienne à Lyon (depuis au moins Henri IV ). c'était une activité très dépendante de la mode (d'ou le déclin de la période révolutionnaire) mais elle avait repris sous l'empire (surtout avec le remplacement du Métier "à la tire" par le métier jacquard, le fameux "Bistanclaque-pan)
En 1831, la soierie était en crise, les canuts (qui, au passage étaient des artisans et non des ouvriers ) exigeaient des "soyeux" qui étaient les négociants un "tarif", c'est à dire une rémunération minimum. Ce "tarif" ayant été refusé, la révolte éclata
Pour la révolte de 1834, les causes étaient plus complexe, les options républicaines ayant beaucoup plus d'importance