excusez moi pour les fautes émanant du copier coller, mais les "frames" de Lycos ne permettent pas une publication correcte et de plus chaque fois que j'essaie de corriger, le message est effacé complètement.

Merci pour le reste des informations ma chère, je demanderai à mon ami qui vie à Berne qui travaillle pour ce que l'on appelle en france les monuments historique si il peut nous avoir d'autre informations qui seraient sensible de vous intéréssez.

Sincèrement votre
Aislinn

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Oncques ne rebrousse

Il est vrai qu'Elisabeth aimait la Hongrie et a tout fait pour sauver son pays de coeur, seulement, les hongrois préparais une révolution de taille car le "beau pendu" était réaparus !! Elisabeth à parler à son mari mais il n'avais pas trop le choix...


Sissi n'a eu aucune influence sur son mari, l'archiduchesse ne l'aurait jamais permis !! C'est elle qui influençait son fils !

Message fusionné

L'impératrice Élisabeth de Wittelsbach est une impératrice qui fascine en tout cas elle me fascine ! J'aimerais savoir comment était son caractére ?

Elisabeth n'était pas heureuse, elle était même depressive, je pense . En mal de vivre , elle se réfugiait derrière l'apparât de sa personne qui suscitait tant d'admiration , d'où son attention à la finesse de sa silhouette d'anorexique. Elle tenait à sa couronne capillaire pour laquelle on a inventé le schampoing sec...Tout cela permettait de s'attacher au faste de sa personne plutôt qu'au désarroi de son âme. Il semble qu'elle était assez peu cultivée, car elle ne savait pas trouver vraiment d'intérêt aux choses.
Ce n'est pas un hasard si elle s'entendait si bien avec Louis II, son cousin, car ils étaient tous deux des caractères mal compris et à part...elle était peut-être atteinte de la même folie merveilleuse que le Roi de Bavière?

Bien à vous.

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"Il n'y a de nouveau que ce qui est oublié."
Rose Bertin

Et on c'est pourquoi elle était mal dans sa peau ? Ca peut venir du fait qu'elle était dans la noblesse peut être.. Il y a beaucoup d'exemple de noble qui s'intéresse plutôt a autre chose ou qui était mal dans leur peau car, il y avait beaucoup de tension et de stress et qu'ils désirent une vie plus calme !

Sissi était loin d'être inculte! Elle adorait la poésie de Heine, lisait Shakespeare et Homère dans le texte, ayant même appris le grec. La mythologie la fascinait et en particulier le héros Achille... Bref, elle pouvait s'intéresser à autre chose qu'à sa beauté, sa minceur et ses cheveux!


C'est vrai que si elle avait eu le choix, elle n'aurait pas voulu être impératrice. Mariée à seize ans, après une enfance libre et heureuse, Elisabeth a été confrontée au protocole écrasant de la cour de Vienne. La vie en représentation lui était insupportable. Elle n'avait plus aucune intimité, on surveillait ses moindres gestes pour la critiquer dés qu'elle dérogeait aux usages (elle devait par exemple garder ses gants à table...) Elle n'a même pas pu élever ses enfants, on la confinait dans ses devoirs d'apparat où elle se devait de briller par sa beauté... On comprend aisément son mal-être et sa haine de l'étiquette, qu'elle cherchait à fuir par tous les moyens : l'équitation, les voyages...

pour répondre a toute les questions j'ai trouvé un site avec les biographie d'Elisabeth d'autriche il y en a une dizaine et de sa famille aussi
si vous chercher des réponses cela peu vous aider.
http://eternellesissi.zlio.net/

Pour avoir beaucoup étudié les biographies de Sissi et lu ses poèmes (je trouve que la traduction française ne rend pas la nostalgie présente) je serai un peu plus sévère.

Certes elle s’est mariée (très, trop ?) jeune, certes sa belle – mère ne voulait pas d’elle, mais quand on est petite- fille de roi ( Maximilien Ier de Bavière ) , nièce de roi (Louis Ier de Bavière ) , nièce de reines ( de Prusse, de Saxe ) , nièce de future impératrice ( Sophie ) et cousine germaine de l’empereur d’Autriche- Hongrie , comment pouvait – elle espérer vivre comme une bergère ? et d’ailleurs l’aurait – elle accepté ? car son train de vie était plus que princier .

Il faut reprocher à son père le duc Max en Bavière ( ah ! ce en de la branche cadette ) de ne pas l’avoir élevée, comme l’était toutes les héritières de cette époque, en vue d’une belle alliance .

On peut ensuite reconnaître que Sissi n’a rien fait pour arrondir les angles. L’étiquette de la cour d’Autriche datait de Charles Quint, mais est- ce en ruant dans les brancards que l’on arrive à ses fins ? Ce n’est pas par caprice que l’Archiduchesse Sophie lui demandait de garder ses gants pour manger, c’était l’Etiquette.

La seule fois où elle a voulu emmener ses filles en voyage avec elle, cela s’est terminé par le drame de la mort de la petite Sophie. Sa belle – mère n’avait – elle pas quelque raison de se faire du souci ?

Fantasque, capricieuse, égocentrique, elle n’était pas faite pour vivre en représentation. Mais personne et surtout pas sa mère, qui avait une revanche à prendre sur le destin, ne se serait risquer à dire non à cette brillante alliance avec l’Empereur d’Autriche.

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Il est beau de suivre sa pente, pourvu que ce soit en montant . André Gide .

Bonjour, de quoi est morte sa fille précisement? Est ce qu'un médecin faisait partie du voyage?

Pourquoi dites vous que sa mère avait une revanche à prendre sur le destin?

La mère de Sissi , la duchesse Ludovica de Bavière est la fille du roi Maximilien Ier de Bavière .
Ses sœurs se sont bien mariées : Elisabeth est reine de Prusse, Marie reine de Saxe et Sophie a épousé l’archiduc François -Charles, héritier du trône d’Autriche ( il ne régnera pas mais ceci est une autre histoire).

Ludovica, elle, va épouser un cousin, le duc Max en Bavière, de la branche cadette. Ses sœurs la plaignaient d’avoir fait un moins beau mariage qu’elles et toute sa vie elle rêvera de voir ses filles épouser de beaux titres.
Et lequel est plus grand qu’empereur d’Autriche ?

Les particules de la noblesse allemande von ( de ) et zu ( en ) correspondent aux branches ainées et cadettes .

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Il est beau de suivre sa pente, pourvu que ce soit en montant . André Gide .

Lors d’un voyage en Hongrie en 1857, Sissi décide d’emmener ses filles (Sophie née en 1855, Gisèle en 1856) avec elle.
Le docteur Seeburger médecin de la cour , qui sait que la petite Sophie est de santé fragile, accompagne le couple impérial .

Le 3 mai ils prennent le bateau pour descendre le Danube. Le 4, ils arrivent à Budapest et les fillettes y demeurent tandis que leurs parents continuent le voyage. Gisèle tombe malade, mais s’en remet vite tandis que sa sœur s’affaiblit de jour en jour.
Le 13, Sissi est rappelée, Sophie étant dans un état alarmant. Le docteur assure que vomissements et dysenterie proviennent du fait qu’elle perce des dents et le voyage continue . Mais le 28 à vingt et une heure trente elle rend le dernier soupir.
D’après les connaissances actuelles et compte tenu des symptômes, ce serait la typhoïde qui aurait été la cause du décès de la petite fille.

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Mais alors, c'est plus de la responsabilité du médecin que d'elizabeth ?

Il ne faut pas raisonner avec les connaissances d’aujourd’hui.

Quand on réfléchit, sans parti pris, n’était – ce pas pour embêter sa belle – mère, qui connaissait mieux qu’elle la santé de la petite Sophie puisque c’était elle qui l’élevait, que Sissi veut se faire accompagner des bébés.
Elle passe 2 jours avec ses filles, les laisse à Budapest qui était loin d’être aussi moderne que Vienne, et continue son voyage …
Peut – on vraiment croire que c’est pour les voir ?

En 1857 on est encore loin de la médecine moderne ( les travaux de Pasteur commencent à être connu vers 1865 - le hongrois Semmelweis qui lutte pour l’asepsie est licencié de l’hôpital en 1849 ) alors les microbes que l’on avale avec l’eau et les risques qui en découlent , le brave docteur de la cour n’en a sûrement jamais entendu parler .

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Probablement ! mais il devait connaitre le fièvre typhoïde non ? même si elle portait peut être un autre nom ! et de là à la confondre avec des dents qui percent ! Cependant il est vrai que ça n'aurait peut être rien changé quand au résultat final