Jadis a écrit :
Alain.g a écrit :
Les services secrets auraient été chargés de lui faire rencontrer une très belle femme et ce fut une divorcée sans doute pas par hasard ?
Ceci par contre, Alain, ce n'est pas de l'histoire. Je m'étonne de vous voir poser une telle question. Que la classe politique soit rentrée en conflit avec le roi en raison de ses vues diplomatiques et ait utilisé la question de son remariage pour concrétiser son éviction politique, peut-être et même sûrement, mais qu'une partie des plus hautes sphères de l'Etat britannique ait fait le choix de dresser contre le roi les services secrets de son propre pays (avec tout l'aspect complotiste de l'apparition de cette femme, dans la vision que vous nous présentez), ceci dans le but de le faire abdiquer, tout cela me paraît iréel...
J'ai rapporté ce que j'ai entendu ou lu. Dès lors que le gouvernement souhaitait éviter, pour plusieurs raisons, le règne d'Edouard VIII et que c'était un sentiment général, on ne peut écarter une initiative du MI 5. Je ne sais plus qui étayait la thèse que le MI 5 avait choisi d'agir en mettant sur le chemin d'Edward une femme divorcée séduisante connaissant ses faiblesses de ce côté. Celà me parait également très gros! Mais le sujet commande de n'écarter aucune hypothèse.
Wiki:
" Le 16 juillet 1936, un escroc irlandais appelé Jerome Bannigan, alias George Andrew McMahon, dégaina un revolver chargé alors qu'Édouard descendait à cheval Constitution Hill près du palais de Buckingham. La police repéra l'arme et il fut rapidement arrêté. À son procès, Bannigan déclara qu'une « puissance étrangère » l'avait approché pour qu'il tue Édouard, qu'il avait informé le MI5 du plan et qu'il avait exécuté sa mission pour que le MI5 puisse arrêter les véritables coupables. Le tribunal rejeta ces déclarations et il fut condamné à un an de prison38. On pense aujourd'hui que Bannigan avait effectivement été en contact avec le MI5 mais la véracité de ses autres déclarations reste incertaine39.
Renvoi 39: " Andrew Cook, « The plot thickens », The Guardian, Londres, 3 janvier 2003 [texte intégral [archive] (page consultée le 1er mai 2010)] "