Jerôme a écrit :
Aymont a écrit :
Ce roman autobiographique farouchement catho et antimarxiste a fait mes délices il y a une dizaine d'années. Je n'y ai rien trouvé d'invraisemblable, si ce n'est le "délire" catho final.
Justement je me demande si la description n'est pas un peu orientée : gentils Italiens catholiques, méchants allemands nazis, méchants soviétiques communistes, gentils ukrainiens persécutés , etc ....
Tout texte reflète les opinions de son auteur. Ces opinions peuvent très bien être les opinions généralement reçues dans sa communauté, je crois que c'est le cas dans
Le Cheval Rouge. Mais de là à dire qu'il y a une orientation volontaire et forcée, il y a un pas, que pour ma part je ne franchis pas. On peut certes parler de généralisation, mais sans plus, et pour moi cette généralisation rend compte de la réalité, simplement; elle n'est ni aventureuse ni exagérée. N'avez-vous pas aussi le sentiment que les Italiens sont généralement cathos et les nazis "méchants" ?