Pikou a écrit :
MonteCristo a écrit :
L'Islam a passionné les SS et les nazis et de nombreux SS se convertiront après la seconde guerre mondiale, je n'arrive plus à retrouver un article avec le chiffre exact mais ceci est bien une réalité frappante.
donc vous n'avez aucun chiffre, mais vous dites tout de même que l'Islam a passionné les nazis, sous-entendu : tout ou l'immense majorité des nazis. Et surtout vous nous dites qu'ils furent "nombreux" à se convertir, mais sans nous trouver le moindre chiffre ni le moindre nom.
Sisi ne vous inquiétez pas, j'ai remis la main dessus.
Vous vouliez des noms et bien nous allons commencer par le haut de la pyramide. Nous avions djà cité l'empathie d'Himmler plus haut dans ce topic à laquelle je vais rajouter celle d'Hitler en personne.
Dans les écrits de Léon Degrelle:
"Contrairement à tout ce qu'on a pu raconter, Hitler n'était pas du tout un païen (...) Hitler avait indiscutablement un faible pour la religion islamique. Lui qui était d'origine catholique et comme enfant avait chanté dans le chœur de la paroisse, montrait un grand intérêt pour l'Islam et sa civilisation».
Mais encore le 1 août 1942 :
« Nous ne comprenons pas que les prêtres s’imaginent Dieu à la ressemblance d'un homme. De ce point de vue, les disciples de Mahomet sont, de loin, supérieurs aux prêtres, parce qu'ils n'éprouvent pas le besoin de se figurer Allah physiquement ! ». « L'époque arabe fut l'âge d'or de l'Espagne la plus civilisée. Puis vint l'époque des persécutions toujours recommencées ».
Ou bien 18 août 1942 :
« La civilisation a été un des éléments constitutifs de la puissance de l'Empire romain. La même chose se produisit en Espagne sous la domination des arabes. La civilisation y atteint un niveau rarement atteint. Une époque, indiscutablement, d'humanisme intégral, dans laquelle régna le plus pur esprit chevaleresque.
L'intrusion du christianisme y a apporté le triomphe de la barbarie. L'esprit chevaleresque des Castillans est en effet un héritage des Arabes ». « Si à Poitiers Charles Martel avait été battu, le monde aurait changé de face. Puisque le monde était déjà condamné à l'influence judaïque (et son sous-produit le christianisme est une chose si insipide !), il aurait mieux valu que l'islam triomphe.
Cette religion récompense l'héroïsme, promet au guerrier les joies du septième ciel… Animé d'un esprit semblable, les Germains auraient conquis le monde. Ils en ont été empêchés par le christianisme.».
Il apparait ici clairement le double axiome idéologique et religieux qui est d'un côté la condamnation du christianisme, religion de "faibles" héritière de la tradition juive et qui a freiné les Germains tout en montrant clairement une fascination pour l'Islam.
Vous vouliez d'autres noms:
-Johann Von Leers, alias Omar Amin, assistant de Joseph Goebbels au ministère de la propagande. Il est l'auteur de nombreux écrits antisémites, comme La nature criminelle des juifs, publié en 1944.
Son principal rôle sous le Troisième Reich a été l'incitation à la haine contre les juifs. Après la guerre, il se réfugie en Égypte. Il se convertit à l'Islam, et prend le nom d'Omar Amin. Il reprend ses activités de propagande antisioniste, cette fois au service du président égyptien Gamal Abdel Nasser.
-Albert Thiemann, alias Amman Kader( son nom après conversion à l'Islam) Officier SS en Tchécoslovaquie. Il travaillera au ministère de l'information en Égypte.
-Erich Altern, alias Ali Bella (nom arabisé après convertion), chef régional du SD, les renseignements nazis. Il se réfugie d'abord en Égypte, avant de devenir instructeur dans des camps d'entraînement palestiniens.
-Wilhelm Boerner, alias Ali Ben Keshir, gardien de camp de concentration de Mauthausen. Il travaillera au ministère de l'intérieur en Égypte, puis deviendra instructeur du front de libération de la Palestine.
-Franz Bartel, alias El-Hussein, adjoint au chef de la Gestapo à Kattowitz, en Pologne. A partir de 1959, il travaille à la section juive du ministère de l'information en Égypte.
-Alois Brunner, alias Goerg Fisher, alias Ali Mohammed. Il fut l'un des acteurs de la solution finale, aux côtés d'Adolf Eichmann. Il fut notamment responsable des déportations vers les camps d'extermination des juifs d'Autriche et de Grèce. Après la guerre, il travaille à Damas, en Syrie, où il est conseiller du gouvernement. Il est notamment chargé de mettre en place des techniques de torture dans les prisons syriennes.