Autre observation naïve : le saint-Empire n'a-t-il pas à près réussi à conjuguer féodalité et une certaine cohésion interne au cours de ses deux premiers siècles (et même trois : Frédéric barberousse n'était pas un faible personnage ...) et le saint-Empire était également très hétérogène (Germanie, Italie, "Bourgogne", terres slaves) et a su conjuguer expansion militaire vers l'Est sans concession à l'ouest (l'empire de charlemagne était finalement plus cohérent sur le plan de la stricte cartographie). Là aussi dira-t-on que les leçons du IXè siècle ont porté leurs fruits ?
que savons nous de la psychologie des comtes et évêques carolingiens ? quelles sources permettent de les connaître : je ne connais ni mémoires, ni correspondances d'aristocrates caroliniens. Faut il nous fier aux "historiens" de ce temps (ecclesiastiques généralement monarchistes et "carlophiles") ?
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