quelqu'un peut-il me donner un plan de dissertation ?

Vous plaisantez??? Faites-nous des propositions; dites-nous ce que vous en pensez... Arrêtez de prendre ce lieu pour un fournisseur de plans disserte toutes faites...

keikoz

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Dubitando ad veritatem pervenimus
Cicéron, De officiis

un paragraphe est à absolument consacrer à la pointure de sa femme. Une citation de François Villon s'imposera:


pardon, je déconne, je ne suis ni étudiant, ni professeur. Je donne toujours ce genre de conseil à mes enfants, quand ils me posent ce genre de question.

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"La vie des hommes qui vont droit devant eux, renaitraient-ils dix fois en dix mondes meilleurs, serait toujours semblable à la première. Il n'y a qu'une façon d'aller droit devant soi." (Pierre Mac Orlan)

On ne sait pas si il a été sacré puis applaudit ou l'inverse!

Donner un plan surement pas, mais certains points semblent inévitables je pense.
Parler du changement de dynastie ( Childéric III au monastère et Thierry enfermé )
Parler du sacre pontifical ( sorte de remerciement de l'avoir défendu des Lombards et alliance entre pippinides et la papauté )
Parler du sacre en même temps de ses fils ( Charles et Carloman, ce qui consacre en quelques sortes la dynatie )
Voilà des pistes à creuser je pense.

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Ivan - Onyx91 .from Euskal Herria || "Esanak egin, eginak esan"

je rajouterai à ce qu'à dit onyx91 : pour un premier point ou en intro.
Comment est-on arrivé au renversement des Mérovingiens, sans trop détailler naturellement.
Rappeler que Pépin n'est pas né ex-nihilo mais qu'il descend d'une longue dynastie de Maire du Palais et en particulier de Charles Martel, le vainqueur de poitiers....
Je vous conseille de lire le livre de Frédégaire "Chronique des temps mérovingiens" aux éditions Brepols, Turnhout (en Belgique), 2001
qui termine sur le règne de Pépin le Bref (inclus)

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Pour grands que soient les rois, ils sont ce que nous sommes : Ils peuvent se tromper comme les autres hommes.
Pierre Corneille, Le Cid

Il y a aussi l'inhabituelle cohabitation pacifique, et même fidèle, avec son frère Carloman, avant que celui-ci ne se retire pour raisons personnelles.

Quand on voit les moeurs politiques en général, et celles des francs en particulier, ça ne laisse pas de surprendre...

A noter qu'un coup d'état avait déjà été tenté au VIè siècle...

Je pense que ce qu'il faut surtout creuser c'est le fait que c'est en partie l'église qui a permis à Pepin le Bref (Et donc aux Carolingiens) de prendre le pouvoir.

En effet, le Pape à cette époque était à Byzance et n'avait pas d'alliés face aux Lombards... Le fait de sacrer Pépin lui a permis d'obtenir son aide, d'ailleurs les territoires Lombards seront rendus au Pape qui seront ensuite conquis par Charlemagne définitivement (Roi des Francs, Roi des Lombards).

A noter que le Pape Léon III avait fait de même lors du couronnement impérial de Charlemagne: Il y voyait avant tout un objectif de soutien, un bras armée auprès de l'église...

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Le mystère de Louis XVII reste entier...

Les trois coups d'état carolingiens :
a) Le premier, de Grimoald en 661 (VIIè siècle donc, et pas VIè), rapidement avorté (il avait fait adopter son fils Childebert au roi Sigebert III qui n'avait pas d'enfant ; Childebert était ensuite monté sur le trône avant d'être assassiné avec son père : c'était trop tôt, la société mérovingienne n'était pas prête)
b) Le second, de Charles Martel en 737, qui dure jusqu'à sa mort en 741 (il ne fait pas nommer de nouveau roi après la mort de Thierry IV ; c'est son fils Pépin qui le fera).
c) Le troisième, qui est le bon, de Pépin le bref en 751 lorsqu'il dépose le dernier mérovingien et se fait élire roi des francs, avec la confirmation du pape.


Quant à l'Eglise en France elle était en déliquescence, et Pépin le bref lui a imposé une cure de réforme énergique avec l'aide de certains évèques.

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Les facultés de conceptualisation de l'empereur Constantin paraissent avoir été très limitées ; malgré de longues séances, les évêques ne semblent pas avoir réussi à lui faire bien comprendre la différence qui séparait l'orthodoxie de l'arianisme. (Y. Le Bohec)

Bref, un homme "au front étroit mais à la forte mâchoire" (J.P. Callu)

Il y a effectivement eu une erreur de frappe de ma part, c'est bien au VIIème siècle et non au VIème.

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Le mystère de Louis XVII reste entier...