Bonjour à toutes et tous
Je cherche à mieux comprendre les règles du restaur / restor dans l'Italie médiévale. Pour l'instant, je sais qu'il s'agit du rachat par le seigneur d'une partie du matériel, souvent le cheval en cas de défaite d'un miles, que cette pratique a permis à la militia de se maintenir comme groupe social, mais j'aimerai en savoir plus.
Quelqu'un a-t-il des éléments plus précis, en particulier sur la genèse et la continuité d'une telle pratique ?
Merci par avance.

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"... à cent lieues de la Bastille, à l'enseigne de la liberté."

Avez vous consulté le Tome VII du Godefroy, page 124, quelques définitions en sont données.

http://visualiseur.bnf.fr/Visualiseur?D ... NUMM-50640

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)

Merci, Jean-Marc Labat
L'article semble confirmer ce que j'avais lu et semble mettre aussi en avant ce que Jean-Claude Maire-Vigueur souligne dans son Cavaliers et citoyens. En Italie, le restor semble concerner l'entier armement des combattants voire même leur intégrité physique. En France, l'usage puis la loi ne prenait en compte la seule monture. D'ailleurs selon le Vocabulaire historique de Touati (beaucoup moins loquace que le Godefroy), la coutume fut supprimée en France sous le règne de Charles V.
Le sens de lignage que recouvre également le terme -dernier sens dans l'article - en dit long sur la conception de la famille chez les milites.

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"... à cent lieues de la Bastille, à l'enseigne de la liberté."