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Message Publié : 22 Mai 2007 21:56 
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Hérodote
Hérodote

Inscription : 22 Mai 2007 21:53
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voila un sujet de colle très intéressant !
quelqu'un aurait-il le temps et l'envie de m'aider à analyser ce sujet et a y trouver une problématique, ainsi qu'un développement logique?


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Message Publié : 22 Mai 2007 22:18 
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Plutarque
Plutarque

Inscription : 08 Nov 2005 11:07
Message(s) : 181
Chavela a écrit :
voila un sujet de colle très intéressant !
quelqu'un aurait-il le temps et l'envie de m'aider à analyser ce sujet et a y trouver une problématique, ainsi qu'un développement logique?


Que se passe t'il en France a ce moment là ?

Ignace de Loyola ca vous dit quelque chose ?

La Réforme ca vous dit quelque chose ?

1598 ca vous dit aussi quelque chose ?


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Message Publié : 23 Mai 2007 4:43 
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Modérateur Général
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Inscription : 13 Mars 2006 10:38
Message(s) : 2476
Localisation : Lorraine
Euh... il me semble, Macgregor, que vous avez été suffisamment, fréquemment et efficacement aidé quand vous le demandiez pour être moins expéditif, un peu plus clair dans vos réponses quand d'autres sollicitent des informations.
Sinon, Ignace de Loyola me semble un peu éloigné du sujet...

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Message Publié : 23 Mai 2007 7:07 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges
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Inscription : 15 Nov 2006 17:43
Message(s) : 3549
Localisation : Lorrain en exil à Paris
Je plussoie Plantin.


Sinon, pour votre sujet, je pense qu'il s'agit clairement d'un sujet aux confins de l'histoire des représentations et de l'histoire religieuse. Il faut, je présume, se baser sur les origines culturelles et sociales de ceux qui "deviennent" protestants à cette époque.

Quelles sont les bases de leur éducation, de leur culture, qui les rend sensibles aux thèmes de la Réforme. Mais aussi en quoi leur position sociale et leurs réseaux les rend accessibles à la diffusion de la pensée protestante.

Je pense sans être bien spécialiste de ces sujets, qu'il faut creuser dans cette direction.

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

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Message Publié : 23 Mai 2007 7:58 
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Salluste
Salluste
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Inscription : 02 Juil 2006 20:33
Message(s) : 230
Localisation : Nalanda Monastery, France
Bonjour,


Alfred Teckel donne deux directions intéressantes : une selon le prisme sociologique (étudier les origines culturelles et sociales de ceux qui deviennent protestants à cette époque) et une médiologique (suivre la diffusion du protestantisme). Ces deux champs se recoupent : le protestantisme se baladait dans une charette et celle-ci a été bloquée à la frontière de l'italie, en revanche elle a pu passer au nord, d'ou le rayonnement du protestantisme au Nord plutôt qu'au Sud (c'est une image).

Bref, à ce se stade, vous pouvez vous intéresser à la nature de ces deux disciplines : sociologie, médiologie.


Personnellement, je voyais une autre problématique : vous pouvez vous intéresser à "la façon dont le devenir protestant posait problème". A la réception qui était faite du protestantisme (iconographie), et au traitement de cette réception. Par exemple "au XVIème siècle, le protestantisme est considéré comme une errance, voir une folie, et on traite les errants en les envoyant à l'asil psychiatriques (au côté des convulsionnaires, des mélancolies, des oisifs, etc). Là, ils doivent se confesser, se repentir, subir quelques saignements et autres formes de lavements, etc".

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« Suffering also has its worth. Through sorrow, pride is driven out, and pity felt for those who wander in samsara; Evil is avoided, goodness seems delightful. »

Shantideva


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Message Publié : 23 Mai 2007 12:46 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours
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Inscription : 13 Jan 2007 20:12
Message(s) : 576
Localisation : Région parisienne
Il est possible aussi de partir de la définition du mot "protestant" : d'où vient-il ? Qui l'a attribué au groupe des "protestants" et quand ? Etc ...Car les protestants du XVIe siècle se réclament de l'Eglise Réformée.
Et aussi, qu'est-ce qui fait qu'on saute le pas entre le catholicisme critique et le protestantisme ? Là-dessus, la question de la foi me semble aussi primordiale. Par foi, j'entends les différences entre catholiques et protestants d'un point de vue théologique.
Bref, commencer par s'interroger sur le sens des mots du sujet posé, et sur sa formulation :). Ca ne fait pas forcément le développement, mais c'est à mon avis indispenable pour démarrer la réflexion personnelle et attraper un fil conducteur !

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Message Publié : 23 Mai 2007 13:34 
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Philippe de Commines
Philippe de Commines
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Inscription : 26 Déc 2005 21:13
Message(s) : 1829
Localisation : Metz
Je suis bien sûr d'accord avec tout ce qui vient d'être dit.
Je pense pour ma part que d'autres pistes doivent être explorées: quelles sont les conditions de la conversion (qui fait que l'on devient protestant)? Quelles sont les différences entre protestantisme du nord et protestantisme du sud en France? Quel est le rôle des seigneurs dans le passage au protestantisme? Quel rôle des nombreux membres du clergé? Quel rôle des femmes (notamment dans la noblesse)?

C'est à mon avis un très beau sujet, qui mériterait bien mieux que les quelques questions que je viens de jeter...

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«L'humanité est comme un paysan ivre à cheval: quand on la relève d'un côté, elle tombe de l'autre.»
(Martin Luther)


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Message Publié : 23 Mai 2007 20:57 
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Jean Froissart
Jean Froissart
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Inscription : 28 Avr 2006 23:02
Message(s) : 1397
Localisation : Orne
Je suis bien sûr en desaccord avec tout ce qui a été dit ou sous-entendu sur des pratiques cruelles lors de conversions. Cela a pu arriver, mais c'était rare car, premièrement, nos ancetres n'étaient globalement ni plus ni moins barbares que nous, et deuxiemmement, c'est en contradiction avec les cadeaux avérés qui ont été offerts aux convertis, par exemple, Paris à Henri IV, des postes hauts placés dans la fonction publique pour des hommes de valeur qui se convertissaient, et d'autres avantages nombreux. On n'attire pas les mouches avec du vinaigre.

Ensuite, je crois que la plupart des gens n'avaient pas le choix, car la formule latine bien connue Cujus regio, ejus religio, en français : tel prince, telle religion, décrivait une réalité. La concurrence n'existait pratiquement jamais entre le catholicisme et le protestantisme à l'intérieur d'une même ville, ou d'une même région. C'est aussi le cas de nos jours où dans de nombreux pays, une seule religion est permise.


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Message Publié : 23 Mai 2007 22:16 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges
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Inscription : 15 Nov 2006 17:43
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Localisation : Lorrain en exil à Paris
Oliviert a écrit :
J

Ensuite, je crois que la plupart des gens n'avaient pas le choix, car la formule latine bien connue Cujus regio, ejus religio, en français : tel prince, telle religion, décrivait une réalité. La concurrence n'existait pratiquement jamais entre le catholicisme et le protestantisme à l'intérieur d'une même ville, ou d'une même région. C'est aussi le cas de nos jours où dans de nombreux pays, une seule religion est permise.



Je me permets d'émettre un doute sur ce point précis. Si cela est vrai de pays qui se sont faits les champions du catholicisme (Espagne, Lorraine, Autriche hormis un épisode de la Guerre des Paysans), où le choix était en gros le catholicisme ou (au mieux) l'exil, en France et dans les villes, je pense que la situation était plus nuancée. A Metz par exemple, les protestants étaient nombreux mais pas majoritaires et cohabitaient avec les catholiques. Idem dans de nombreuses grandes villes alsaciennes, Strasbourg en tête.
Même si je vous l'accorde, cela est surtout un mouvement d'élites, je ne pense pas que tous les sujets d'Henri de Navarre fussent protestants et passèrent subitement au catholicisme suite à la conversion de ce futur roi...

Et même de nos jours, il est assez rare qu'une seule religion soit permise dans des pays où plusieurs cohabitent depuis longtemps (c'est hors-sujet, mais il existe même des juifs iraniens...)

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Message Publié : 24 Mai 2007 10:09 
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Pierre de L'Estoile
Pierre de L'Estoile
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Inscription : 19 Mars 2005 18:17
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Alfred Teckel a écrit :
Je me permets d'émettre un doute sur ce point précis. Si cela est vrai de pays qui se sont faits les champions du catholicisme (Espagne, Lorraine, Autriche hormis un épisode de la Guerre des Paysans), où le choix était en gros le catholicisme ou (au mieux) l'exil, en France et dans les villes, je pense que la situation était plus nuancée. A Metz par exemple, les protestants étaient nombreux mais pas majoritaires et cohabitaient avec les catholiques. Idem dans de nombreuses grandes villes alsaciennes, Strasbourg en tête.
Même si je vous l'accorde, cela est surtout un mouvement d'élites, je ne pense pas que tous les sujets d'Henri de Navarre fussent protestants et passèrent subitement au catholicisme suite à la conversion de ce futur roi...


Je rejoins l'analise d'Alfred Teckel. Au plus fort de l'intolérance religieuse -catholique ou protestante- il existe toujours une minorité aussi minime soit-elle. La tolérance politique variait en fonction de l'actualité.

Reprenons l'exemple de Metz, il existait effectivement une communauté protestante à Metz dès le début des guerres de religion. Cela peut paraître étonnant pour la Lorraine catholique. Le roi et Catherine de Médicis s'y rendent en 1569 alorsque la lutte contre les protestants fait rage. Les protestants de Metz ne sont pas inquiétes, mais après l'annonce de la victoire de Jarnac, les autorités de Metz interdisent le culte protestant.

Au plus fort de la Ligue (1590-1594), il y avait encore à Paris des personnalités marginales proches du protestantisme. Prenons l'exemple d'Ambroise Paré qui à 80 ans passé et placé sous la protection d'Anne d'Este était intouchable. Pourtant son gout pour la réforme était connu.


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Message Publié : 24 Mai 2007 10:47 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges
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Inscription : 15 Nov 2006 17:43
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Localisation : Lorrain en exil à Paris
Châtillon a écrit :

Reprenons l'exemple de Metz, il existait effectivement une communauté protestante à Metz dès le début des guerres de religion. Cela peut paraître étonnant pour la Lorraine catholique..


Metz est devenue française vers cette époque, et auparavant c'était une ville libre, ce qui explique que le duc de Lorraine pourtant champion du catholicisme n'a pas pris de mesure contre eux...

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Message Publié : 22 Juil 2007 13:02 
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Salluste
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Inscription : 28 Déc 2006 20:25
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Plantin-Moretus a écrit :
Euh... il me semble, Macgregor, que vous avez été suffisamment, fréquemment et efficacement aidé quand vous le demandiez pour être moins expéditif, un peu plus clair dans vos réponses quand d'autres sollicitent des informations.
Sinon, Ignace de Loyola me semble un peu éloigné du sujet...


Permettez-moi de n'être pas tout à fait d'accord. Je ne suis pas bien sûre que Ignace de Loyola soit si éloigné du sujet, les Jésuites s'étant donné dans un 2nd temps pour mission de lutter contre l'hérésie réformée, en France, en Allemagne et aux Pays-Bas... C'est un petit élément bon à citer, pour prendre de la hauteur.

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Le satanique ennemi de la véritable histoire : la manie du jugement (Marc Bloch)


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Message Publié : 22 Juil 2007 13:13 
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Salluste
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Inscription : 28 Déc 2006 20:25
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Localisation : Paris
Alfred Teckel a écrit :
Oliviert a écrit :
J

Ensuite, je crois que la plupart des gens n'avaient pas le choix, car la formule latine bien connue Cujus regio, ejus religio, en français : tel prince, telle religion, décrivait une réalité. La concurrence n'existait pratiquement jamais entre le catholicisme et le protestantisme à l'intérieur d'une même ville, ou d'une même région. C'est aussi le cas de nos jours où dans de nombreux pays, une seule religion est permise.



Je me permets d'émettre un doute sur ce point précis. Si cela est vrai de pays qui se sont faits les champions du catholicisme (Espagne, Lorraine, Autriche hormis un épisode de la Guerre des Paysans), où le choix était en gros le catholicisme ou (au mieux) l'exil, en France et dans les villes, je pense que la situation était plus nuancée. A Metz par exemple, les protestants étaient nombreux mais pas majoritaires et cohabitaient avec les catholiques. Idem dans de nombreuses grandes villes alsaciennes, Strasbourg en tête.
Même si je vous l'accorde, cela est surtout un mouvement d'élites, je ne pense pas que tous les sujets d'Henri de Navarre fussent protestants et passèrent subitement au catholicisme suite à la conversion de ce futur roi...

Et même de nos jours, il est assez rare qu'une seule religion soit permise dans des pays où plusieurs cohabitent depuis longtemps (c'est hors-sujet, mais il existe même des juifs iraniens...)


Là je m'étouffee ! 8O 8O 8O citer comme exemple de ville... française?! "Strasbourg" et les villes alsaciennes, au XVIe s... ?!

Autre chose, le cujus régio ejus religio est qqchose qui s'est d'abord et avt tout produit dans le Saint-Empire, officiellement. De fait, pendant les guerres de religion, il y a pu y avoir des villes tenues par des Réformés, où les habitants catholiques devaient se convertir ou partir, idem à l'inverse, quand la ville était tenue par des catholiques (quoique, en étant discret...)

La réflexion d'Alcibiade au sujet des conséquences pour les convertis était très intéressante: je me souviens de l'exemple très simple donné par un vieux prof en cours. Imaginez une procession de la fête-Dieu dans les rues: les gens tendaient pour 'loccasion des draps, et on jetait des herbes et des fleurs sur le sol pour le passage du cortège, les gens, s'ils n'étaient pas dans le cortège, le suivait depuis leurs maisons, leurs fenêtres. Une maison de réformé, elle, était repérable, car aucune tenture, aucune fleur, pas d'habitant à la fenêtre. Autre exemple: la nourriture les jours de jeûnes. Pas de consommation de poisson le vendredi... C'était repérable. Et de toute façon, imaginez dans les petits villages qui sont chacun une paroisse, les grandes villes, divisées en (petites) paroisses, correspondant chacun à un quartier, tout le monde se connaît, si Untel ne va plus à la messe, c'est tout de suite remarqué. Est-ce que je e trompe?

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Message Publié : 22 Août 2008 20:26 
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Salluste
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Inscription : 13 Oct 2007 10:18
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Justement j'ai une question qui colle plus ou moins au sujet :

sachant qu'au temps fort des Guerres de Religions plus de 2 millions de Français étaient déclarés protestants, comment ça se fait qu'au XIX° siècle, et même au XX° siècle ils soient si peu nombreux ou qu'on entende assez peu parler d'eux ?

Une conséquence directe de la révocation de l'édit de Nantes ? Pourtant je crois que Louis XVI remet en place la tolérance à leur égard ? Merci de m'éclairer.

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Message Publié : 22 Août 2008 20:36 
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Pierre de L'Estoile
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Inscription : 19 Mars 2005 18:17
Message(s) : 2159
Localisation : Paris
Les Protestants sont effectivement 2 millions environ en 1562. Mais, quarante ans plus tard, en 1600, ils ne sont plus qu'1 million environ (source: dico de B. et J.).

La révocation de l'édit de Nantes a t-elle joué un rôle ? Oui mais pas seulement. Le 17e siècle est le siècle de la Contre-réforme Catholique. C'est le siècle où l’Eglise se reprend en main et où l’église de France confirme sa position de fille aînée de l’Eglise romaine.

De plus, bien avant Louis XIV, Henri IV et Louis XIII encouragent les conversions au catholicisme. L'édit de Nantes, lui-même ne donne pas la liberté totale de culte aux Protestants. Le règne d'Henri IV marque le début de la reconquête catholique.

L'édit de tolérance de Louis XVI a été en partie pris pour répondre à l'immigration massive des hollandais dans les années 1780 suite à l'échec de la Révolution batave. Mais ces derniers sont retournés chez eux après.


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