Merci pour la réponse,
Farnèse n'est autre que le beauf à Philippe
Plus sérieusement, Philippe eut effectivement la chance de ne pas voir d'ennemi fouler le sol espagnol, néanmoins ils étaient aux portes entre les Béarnais, les Barbaresques et les Anglais, protéger les côtes de ses états n'était pas de tout repos ni sans frais.
Par ailleurs, il n'y a en effet pas de grande rébellion contre son pouvoir (du moins en Espagne même). Cette relative quiétude ne laisse pas d'étonner et , à mon sens, doit avoir à voir avec la personnalité du souverain. Mais c'est là où le bat blesse, qui est la poule et qui est l'œuf?
Des idées? des suggestions de lecture?
A+