Bonjour à tous,

J’ai cru comprendre que Davout refuserait de livrer bataille à Paris en juin-juillet 1815, si les troupes alliées ne traversaient pas la Seine, pour occuper Paris mais du coup qu’en est-il après l’armistice et la convention de Saint-Cloud car je constate que des troupes alliées ont sans doute occupé Paris, est-ce que Davout mettait un point d’honneur à ne voir aucune force étrangère entrer dans Paris ?

« Le 3 juillet, une convention mettant fin aux hostilités est signée à Saint-Cloud[253]. Davout démissionne de son poste de ministre et prend la tête de l'armée qui doit être évacué derrière la Loire[253]. Lorsque les Autrichiens franchissent le fleuve, il lui suffit de les menacer d’une bataille pour que ces derniers rebroussent chemin. » voici ce que dit le Wikipedia consacré au maréchal Davout.


Merci d’avance pour votre éclairage.

Davout ne comptait pas livrer Paris sans condition. La loi plaça d’ailleurs la cité en état de siège le 28 juin. Pourtant, lui comme d’autres ne se berçaient pas d’illusions, et une défaite aux portes de la ville avait de forts risques de condamner la capitale aux malheurs de la guerre. Il convenait donc de négocier. Cette nécessité était d’autant plus vraie que, suite au désastre de Waterloo, les forces françaises étaient impuissantes à contrecarrer l’invasion du pays, et que l’abdication de Napoléon avait tout lieu de rendre les Alliés conciliants face aux nouvelles autorités. Finalement, grâce à la convention de Saint-Cloud, il n’y eut pas de confrontation majeure. Les Coalisés purent alors occuper Paris et l’armée française se retirer.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)

Je cite quand même Exelmans mettant en déroute la brigade Sohr tout début juillet du côté de Roquencourt
et répliquant à un Prussien fin juin lui disant que Blucher entrerait à Paris le lendemain
"avant çà, vous mangerez la lame de nos sabres"

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… il pleuvait, en cette Nuit de Noël 1914, où les Rois Mages apportaient des Minenwerfer…

Autre combat (moins connu que Rocquencourt, sans doute parce que moins heureux pour les armes françaises) : Issy; les derniers feux à l'heure où les Alliés étaient enfin décidés à négocier.

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" Grâce aux prisonniers. Bonchamps le veut. Bonchamps l'ordonne ! " (d'Autichamp)