Au XVIIIème siècle, le verbe "assassiner" désigne aussi bien le meurtre que la tentative. Louis XV peut donc légitimement dire "je suis assassiné", tout comme les courtisans et mémorialistes pourront par la suite évoquer "l'assassinat du roi".

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Sébastien

Je suis tout à fait d'accord avec Jean-Marc, puisque ce mariage était entre deux êtres qui se sont aimés avant tout, alors il n y a pas de mal à ça, enfin c'est mon point de vue personnel

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Vous voulez les pauvres secourus, moi je veux la misère supprimée.
Victor Hugo

Je ne pense pas qu'on puisse parler d'erreur politique pour le mariage de Louis et Marie, pour au moins deux raisons, à mon avis :

Le choix des prétendantes était assez réduit. En effet l'heureuse élue devait être d'une Maison règnante ou qui avait règné, en âge de procréation (d'où le renvoi de l'Infante), être catholique et préserver le précaire équilibre diplomatique européen (donc une bonne Maison, mais pas trop puissante) ! Marie avait l'avantage de tout cumuler. Vous reconnaîtrez, que s'était assez difficile...

De plus, comme l'a dit Louis-Auguste, la Reine était consciente de ses handicaps, mais a su tenir son rang avec dignité. De plus, elle a su rester en retrait de la vie politique (sauf une fois au début du mariage) et n'a pas donc pas interféré malencontreusement dans la vie publique.

Enfin, il n'a pas certain que la Cour de France (la plus brillante de ce bas monde) ait encore plus rayonnée avec l'Infante-Reine... Marie-Thérèse était Infante et n'a pas particulièrement brillé... J'avoue, c'est dur de briller à côté d'un Soleil

Pierre-Augustin.

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XVIIIèmement votre !

A chaque fois que l'on s'est allié avec la Pologne, cela a été une erreur !
Je pense que l'on aurait obtenu de toute façon la Lorraine.
Quant au mariage "espagnol", cela fait un peu trop de consanguinité tout de même, je pense qu'il aurait mieux fallu aller voir du côté des Pays-Bas ou du Piémont.

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La grande leçon de l'histoire est que l'homme ne tire presque jamais de leçons de l'histoire.

Je suis entièrement d'accord avec vous ! A la fin de la Guerre de Succession contre la reconnaissance de La Pragmatique Sanction et un soutien à l'accession de François II duc de Lorraine au Trône du Saint Empire.

... Mais ceci reste de l'histoire-fiction.

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XVIIIèmement votre !

L'un de nous s'est trompé... Qui peut nous départager ?

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Sébastien

Il me semble que nous ayons tous deux raison !
François III, duc de Lorraine et François II, Grand Duc de Toscane, puis Empereur du Saint Empire ne sont qu'une seule et même personne... Et si je ne dis pas de bêtise, François-Etienne par le baptême !

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XVIIIèmement votre !

Sans provocation aucune, il est peut-etre dommage pour la France et la monarchie que Damiens n'ait pas reussi son coup...

Cela a surtout ete le probleme de la France!



D'autres (et bien pires!) s'en sont tres bien accomodes (Frederic II, Catherine...)



Evidemment, quand on change ses minitres toutes les deux semaines pour faire plaisir a la Pompadour...
Le propre d'un grand chef d'Etat (Roi comme politicien moderne) c'est de savoir s'entourer d'hommes competents.



Et oui, 3 ans sur 48 ans de regne... Ca fait peu

Le Dauphin Louis-Ferdinand eût-il fait un bon roi ? C'est une question que je me pose depuis longtemps.

Louis XV a certes dit "je suis assassiné" qui désigne aussi bien l'attentat que le meurtre, mais il joua ensuite beaucoup de cet événement et pour une blessure superficielle mit un bon moment pour se rétablir

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"Je ne me dissimule point que la Monarchie ne pourrait reprendre son éclat que par un coup de vigueur; mon frère ne le fera pas, et sûrement, je ne me permettrais pas de le lui conseiller."
29 mai 1789

Je crois qu'il a dit quelque chose comme : "la blessure est plus grave qu'il n'y paraît car elle est allée droit au coeur."
Il faut que je retrouve la phrase exacte.

Cet attentat a même des répercussions sur les livraisons de mobilier à Versailles.
En effet, le roi repose sur un lit placé au milieu de sa chambre privée et on trouve dans plusieurs pièces la livraison de fauteuils particuliers pour le roi "agonisant" et convalescent...

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"Je ne me dissimule point que la Monarchie ne pourrait reprendre son éclat que par un coup de vigueur; mon frère ne le fera pas, et sûrement, je ne me permettrais pas de le lui conseiller."
29 mai 1789

Ah ça rigolait pas !
Ce genre de spectacle a dû bien saper la royauté. Damiens aurait alors réussi son coup!

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