Les titres de chevalier et d'écuyer, comme celui de vidame, ne se portaient plus guère à la fin de l'Ancien Régime. Ils ont encore cours néanmoins à Bruxelles...
L'important n'était point d'avoir un titre, mais d'être d'essence noble, et si possible de vieille noblesse... Une fois cette position faite, bien entendu, il y avait la fortune à acquérir... Et potentiellement le titre à acheter. C'est ce qui s'est fait, pour citer un exemple personnel, où la noblesse de ma famille date des croisades, avérée en tout cas sous les Valois, et le titre ne date que du règne de Louis XV.
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