Alain.g a écrit :
C'est parce que je sors des schémas... Rien d'original. Tout est tiré de lectures sur le 18è siècle.
Non pas que je "réagis" mais j'ai là encore quelque mal à comprendre : on sort des schémas pour arriver à cette conclusion étayée de lectures sur le XVIIIème, en citer au moins une aiderait ; autre si possible que "Versailles, coquille vide..." et la déclinaison des images reçues depuis un demi-siècle. Pour s'inscrire "dans la sortie des schémas", évitons d'y rentrer illico.
Citer :
Le mot peuple a plusieurs sens. ici j'ai évoqué dans ce sujet sur la vie privée, cette bourgeoisie qui a soit de reconnaissance et s'attache à en faire la démonstration dans son mode vie et sa demeure, révolutionnant la vie privée au 18è.
C'est une évidence, du moins dans mes lectures sur le 18è. C'est le sujet que je traite, pas la révolution et ses prémices ou les classes sociales de l'époque.
Mais si vous traitez de la bourgeoisie et de son mode de vie vous vous inscrivez déjà dans les prémisses de la première proposition d'un syllogisme dont la conclusion est "Révolution".
Que pouvons-nous retenir du XVIIIème hors la révolution et ses prémices ? Si c'est la "vie privée" stricto sensu, ce sujet aurait alors sa place dans "
Histoire des moeurs". C'est pour ceci que j'ai souhaité comprendre.
Des termes comme "envie" et un certain train de vie à expliciter tient des moeurs du XVIIIème. A moins de lui apporter une connotation politique ce qui explique que le sujet n'ait pas été déplacé, nous sommes obligés d'aller au-delà d'un mode de vie comme vous le notez incontournable dans les lectures : salons où l'on reçoit, où l'on échange et Versailles vidé d'une partie de ses courtisans... et encore pas sous Louis XV... qui s'éteint en 1774 ; nous sommes bien proches de la révolution et plus encore de ses prémices.
Maintenant, je puis me tromper...