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Message Publié : 16 Oct 2005 19:00 
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Eginhard
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Inscription : 22 Mai 2003 16:34
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Marie-Clotilde de France, plus communément appelée Clotilde était la soeur de Louis XVI, des comtes de Provence et d'Artois, futurs Louis XVIII et Charles X, et de Madame Elisabeth.
Fille du dauphin Louis-Ferdinand de France (1729-1765) et de la dauphine Marie-Joséphe de Saxe et petite fille de Louis XV, elle naquit en 1759, deux ans aprés la naissance de Charles-Philippe, comte d'Artois.

Les circonstances de la postérité historique n'ont pas permis la sauvegarde de la mémoire de la première soeur de Louis XVI. Mariée à 16 ans à l'héritier du trone de Piémont-Sardaigne, elle ne laissa pas un grand souvenir à la Cour de France qui semble l'avoir oublié assez vite. Marie-Antoinette, lors de ces années de dauphine, appréciait assez peu Clotilde, sans doute y avait-il inconpabilités de tempéraments ou de styles de vies, les deux princesses ayant quatre ans de différence et la petite-fille du roi ayant vécue longtemps dans le giron de sa gouvernante.





Elevée sous l'aurorité de la Gouvernante des Enfants de France, la comtesse de Marsan, on sait relativement peu de choses sur son enfance. Ses premières années se démarquent sensiblement de celle de ses frères ainés, les ducs de Bourgogne, de Berry (futur Louis XVI) et des comtes de Provence et d'Artois. En effet, les familles royales éduquaient séparément leurs garçons et filles, ce qui n'exluaient évidemment pas que tous se réunissent lors de réunions de famille. Leur grand-père, Louis XV aimait en effet beaucoup ses petits-enfants, mais on peut penser que sa vie de monarque et meme d'homme dans le particulier ne lui laissait pas beaucoup de temps à consacrer aux enfants de son fils Louis-Ferdinand. C'était le role des gouvernantes, des précepteurs et de leur personnel attaché.
Clotilde fut pendant la toute première partie de sa vie une petite fille docile, douce, peut-etre un peu trop placide. Un portrait lui fut consacré lorsqu'elle était enfant. Elle pose sur le dos d'une chèvre en compagnie de son frère le comte d'Artois. Avec la naissance de sa soeur cadette, Madame Elisabeth en 1764, elle trouva une compagagne de jeux. Plus exactement, en tant que soeur ainée, elle s'attacha beaucoup à Elisabeth et l'on sait que les deux fillettes s'adoraient mutuellement. Effectivement, lors du départ de Clotilde pour Turin en 1775, les adieux entre les deux soeurs furent pénibles à voir au vu et au su de tous...

Aux yeux de la gouvernante Mme de Marsan, la petite Elisabeth représenta la préférée des petites-filles du roi. Il est vrai que la petite madame Elisabeth faisait preuve de plus de vivacité d'esprit que son ainée. Elle était aussi plus jolie. Clotilde était de petite taille avec un visage qui resta trop longtemps poupin, meme au milieu de son adolescence. Ses cheveux étaient blonds comme ceux de sa mère et de son frère le futur Louis XVI. Elle avait surtout une facheuse tendance à l'enbompoint au point de lui valoir un sobriquet assez peu flatteur quelques années plus tard. Nous y reviendrons.
La fin des années 1760 lui fut cruelle. Son père Louis-Ferdinand meurt de la tuberculose en 1765 avant que sa mère ne s'éteigne à son tour deux ans plus tard. Clotilde devient doonc doublement orpheline à 8 ans.

Voila pour aujourd'hui. Si vous avez des éclaircissements, des détails ou renseignements complémentaires sur l'enfance de Madame Clotilde, à vous de jouer !
Enfin, malgré ce que vous pouvez croire, je sais peu de choses sur la vie de cette princesse. C'est pourquoi j'évoque sa mémoire à partir de la petite documentation que je possède accumulée au travers de mes lectures et de mes réflexions. Elle m'interesse aussi doublement car elle fut la belle-soeur des comtesses de Provence et d'Artois et que par ce biais je suis applelé à m'interesser de prés aux menbres de la famille royale de Savoie à la fin du XVIIIe siècle.

_________________
Dominique Poulin


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Message Publié : 17 Oct 2005 15:07 
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Plutarque
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Inscription : 25 Avr 2004 19:05
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Cher Dominique

Vos sujets attirent toujours mon attention : il se trouve que , lors de me multiples recherches sur Versailles et ses habitants, j'ai découvert que Louis XVI avait, en effet, une autre soeur, autre que Madame Elisabeth.

J'ai fait, tout comme vous, des recherches sur sa vie afin d'établir une biographie que j'avais publié, en son temps ( en 2000 ) , sur un site consacré aux personnages de Versailles, mis en ligne en collaboration avec un ami.Le texte que j'avais rédigé ainsi que la plupart de mes illustrations, était accessible initialement sur le site suivant : http://perso.normandnet.fr/cvimbert/bios/
Une de ses pages est toujours visible sur la toile sur une autre adresse, rapatriée sur mon autorisation par un tiers , consacrée à la bonne reine Marie Leczinska.
http://pierre.bertrand.free.fr/outre-foret/leczinska.htm

Le site étant devenu inopérant, et compte tenu de l'intérêt de son contenu et de l'opportunité que vous nous donner, de parler ,avec tant de talents des belles soeurs méconnues de Marie Antoinette telles les comtesses de Provence et d'Artois, je vous propose de la remettre en ligne. Laissez moi quelques jours afin de retrouver ce fichier sauvegardé quelque part dans mes archives informatiques.

En attendant , le tableau où se trouve " Gros Madame" et le jeune comte d'artois jouant avec une chèvre correspond à celui, peint par François Hubert Drouais, est conservé au musée de Versailles
http://www.culture.fr/Wave/image/joconde/0002/m503604_88ee1508_p.jpg

Gentilhomme de la chambre


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Message Publié : 17 Oct 2005 17:36 
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Eginhard
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Inscription : 22 Mai 2003 16:34
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Bonjour gentilhomme !

Comme je suis content que vous soyez de retour et que mon sujet sur la princesse Clotilde de France vous interesse ! D'autant plus qu'avec ce que vous m'apprenez, vous avez aussi fait des recherches sur cette altesse royale méconnue. J'ai hate de lire votre site dont vous me parlez (la première adresse n'est en effet plus valable, j'ai à chaque fois un detestable Not found...).

IL existe au moins deux portraits de la princesse lorsqu'elle était toute jeune sur le site de l'Agence Photographique des Musées Nationaux. Par ailleurs, sur le site de Madame Royale ou figure des biographies de sa famille (notamment la mienne sur la comtesse de Provence), la notice biographie concernant Clotilde comporte un remarquable buste de la princesse. Ce buste présente une femme encore jeune, mais Clotilde a perdu ses légendaires rondeurs. On peut alors conjecturer que ce buste fut fait alors qu'elle était devenue princesse de Piémont. De plus, en 1789, alors que le comte d'Artois et ses proches s'installèrent à Turin, ces derniers furent frappés de la métamorphose totale de Clotilde. Elle n'avait pourtant que 30 ans, mais selon le comte d'Espinchal elle " avait perdu ses dents et toute apparence de fraicheur."

Je voulais aussi confirmer qu'il n'est pas dans mon dessein de présenter une biographie purement chronologique, mais plutot de nourrir un débat sur la base de discussions, de reflexions et de découvertes réciproques. Une dernière chose : avez-vous entendu parler d'un ouvrage du vicomte de Reiset qui présenta au début du XXe siècle un livre comportant des lettres inédites entre Marie-Antoinette et Marie-Clotilde. Il n'y aurait pas moyen de rapatrier sur ce forum tout ou partie de ce livre ? Un adresse y est rattachée dans le sous-forum " Des projets et encore des projets... " dans la rubrique Lumières.

A bientot, mais peut-etre pas dans les jours qui viennent et avec pas autant de sources personnelles de ma part dans un premier temps, car j'ai malheureusement fort à faire par ailleurs... Mais rassurez-vous, je reste vigilant et persévérant. A bientot !

_________________
Dominique Poulin


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Message Publié : 17 Oct 2005 18:50 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 12 Juil 2003 17:54
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Pour compléter notre galerie de portraits : :wink:

Image
Madame Clotilde en 1773, par Drouais.

et

Image
Madame Clotilde en 1775, par Drouais.


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Message Publié : 26 Oct 2005 8:37 
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Plutarque
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Inscription : 25 Avr 2004 19:05
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N'ayant pas retrouver l'archive du site dont j'ai parlé, j'ai, heureusement conservé le manuscrit de la biographie de la princesse que je peux mettre ici en ligne :

Marie-Clotilde de France, plus couramment surnommée « Madame Clotilde » , est la deuxième fille de Louis -Ferdinand de Bourbon, Dauphin de France ( fils de Louis XV ) et de sa seconde épouse, Marie - Josèphe de Saxe. Elle est née à Versailles, le 23 septembre 1759, dans la chambre de l’appartement de la Dauphine, au rez de chaussée du château, sous les Grands appartements de la Reine. Cette autre sœur de Louis XVI, fut une de ces saintes princesses, que la famille de France produira , tout comme Mme Elisabeth.

la sage Clotilde
La jeune princesse est confiée à Mme de Marsan « Gouvernante des Enfants de France » ; qui fut chargé de son éducation. Elle eut les mêmes professeurs - on disait « maître »- que ses frères, le Duc de Berry ( futur Louis XVI ), le comte de Provence et le comte d’Artois., qu’elle partagera plus tard avec sa sœur cadette, Mme Elisabeth. Les princesses suivaient sept heures de classe par jour, et seront beaucoup mieux instruites, que la plupart des princesses d’Europe. Elle appréciait particulièrement l’étude de la musique, qu’elle de plaisait à faire entendre à la guitare qu’elle jouait à la perfection. Le peintre Drouais fit un portrait la représentant jouant de cet instrument peu avant son mariage.
« Mme Clotilde était une petite fille enjouée, posée et naturellement disciplinée. Elle était aimée de tout aimée de tout le monde. Bonne prévenante, dévouée, elle réunissait toutes les vertus chrétiennes » dira le vicomte de Reisset. Il poursuit son portait en la qualifiant d’esprit agréable, et fin, possédant une affabilité et des grâces personnelles qui la rendait chère à tous ceux qui l’approchaient.
C’était une princesse pleine de piété, d’un caractère doux, d’une humeur gaie, d’une simplicité charmante. Elle a six ans quant son père disparaît et huit à celle de sa mère. Ces disparitions brutales l’affectera profondément. Elle reporta sa tendresse sur ses frères mais surtout sur sa petite sœur Elisabeth, qui n’avait que trois ans à la disparition de Marie-Joséphe de Saxe. Louis XV sera alors un grand père attentif et très aimé des jeunes princes. Mme Clotilde se séparait rarement de sa sœur, à laquelle elle donnait des conseils de sagesse, mais surtout un exemple de pitié et de simplicité. Elevée très religieusement et étant, de fait, très pieuse, Marie-Clotilde serait devenue probablement, carmelite comme sa tante Madame Louise, si son mariage n’avait pas été une affaire d’état. Leur première séparations sera définitive , à quinze ans, Mme Clotilde , fiancée au prince de Piémont, frère de ses belles-sœurs, les comtesses de Provence et d’Artois, dut quitter Versailles qu’elle ne reverra jamais. Le 27 août 1775, la nouvelle princesse de Piémont fit ses adieux officiels à la Cour , et prit le lendemain, le chemin de Chambéry, alors capitale du Duché de Savoie.
Elle ne songera plus « qu’à devenir une sainte épouse, tout en restant fidèle jusqu’aux marches du trône, aux règles d’une piété qu’elle s’était imposées lorsqu’elle voulait entrer au carmel. »

Princesse de Pièmont :
En arrivant à Chambéry, elle découvrit l’époux que lui imposait son destin : Charles-Emmanuel de Savoie, fils du roi Victor-Amédée III de Sardaigne et de l’infante d’Espagne, Marie Antoinette de Bourbon. Après vingt jours de fêtes et de réceptions, les princes héritiers prirent la route de Turin, capitale du royaume, où ils devaient résider. Une nouvelle vie commençait pour la princesse , qui s’entendit à merveille avec son époux - chose rare dans les familles royales de l’époque. Elle eut la satisfaction de le trouver aussi enclin à la pitié comme elle. Malheureusement, le ménage n’eut pas d’enfants. On attribua cette stérilité à l’obésité congénitale de Clotilde : elle avait été surnommée « Gros madame » à Versailles car elle était très forte. Reisset nous confirme que ce surnom affectueux lui viendrait d’un bon suisse de Versailles, comblé par ses bienfaits. Quelques années plus tard, elle sera d’une extrême maigreur. Le quotidien de la princesse héritière était très simple : lecture des Offices du jour et messe quotidienne. Elles donnaient tous ses soins aux malades et aux pauvres, n’hésitant pas à porter elle même les secours, comme sa grand mère Marie Leczinska, les soulageant de sa bourse et de ses paroles. A Turin , elle patronna beaucoup d’associations, principalement dans les maisons de bienfaisances des pauvres. Elle s’occupait ensuite d’œuvres charitables , comme adhérente de la compagnie des dames de la Visitation de Turin. Elle établie dans ce couvent l’adoration perpétuelle au Sacré-cœur, organisée par des roulements de volontaires. Elle protégeait et aidait financièrement la Société Saint Louis, qui venait aussi en aide auprès des malades. Son mari , était très pieux et on sait qu’ après le décès de sa sainte femme, il préféra abdiquait pour se retirer dans l’ordre des Jésuites de Rome où il mourut en 1819.


Marie Clotilde était sévère pour elle même autant qu’elle était indulgente et affectueuse pour les autres. Elle portait aux membres de sa famille la plus tendre et le plus grand dévouement
Cette vie austère et dévote fut assombrie par les mauvaises nouvelles de France, au moment de la Révolution : elle apprit l’emprisonnement de son frère et de sa famille, puis en 1793, par l’intermédiaire du Cardinal de Turin, Msg Coste, l’annonce de l’exécution de Louis XVI, puis celle de Marie-Antoinette, de sa chère sœur et de nombreuses personnes qu’elle connaissait.
Lorsque la Révolution dispersa le carmel de St Denis, celui où était entrait sa tante, Mme Louise, fille de Louis XV, et où elle aimait la suivre, Clotilde s’efforça d’en sauver quelques-unes, en les regroupant dans le couvent de Monte Carrello, propriété de son époux.
En 1796, son époux devient roi de Sardaigne, à la mort de son père, sous le nom de Charles-Emmanuel IV. Marie-Clotilde, devenue reine, ne changea rien à ses habitudes de prières, ils n’eurent seulement quelques charges supplémentaires et une grande inquiétude vis à vis de la France, devenue l’ennemie. Effectivement, le Directoire déclara la guerre au Royaume de Sardaigne en 1798. La reine passa avec le roi, au début de 1799 à Cagliari où ils restèrent six mois. Cet asile devenant peu sur , ils prirent le chemin de l’exil en Italie.Le 9 décembre, les souverains quittaient Turin de nuit pour fuir l’armée française. Ce fut le début d’une longue errance dont Clotilde ne vit jamais la fin.

La reine Clotilde « Vénérable »
Après Parme et Bologne, les fugitifs furent reçus par le Pape, lui-même réfugié prés de Florence. Il sera très impressionné par le courage et la pitié de la reine, qui, malgré des conditions difficiles, tenait à visiter couvents et églises, pour accomplir tous ses devoirs religieux. Presque seuls, les souverains s’embarquèrent à Livourne pour se rendre en Sardaigne, où ils séjournèrent à Cagliari pendant six mois. Jamais la reine ne se plaindra, elle acceptera la volonté divine et passera la plupart de son temps en dévotions. De retour sur le continent, les deux époux retournèrent à Rome où ils rencontreront le nouveau pape, Pie VII, très ému lui aussi par l’élévation morale de Clotilde. Celle-ci, épuisée, visita les lieux saints de la ville éternelle, mais son état de santé se détériora. Elle mourut le 7 mars 1802.Sa mort fut un grand deuil et un grand exemple pour ceux qui l’assistèrent.
« Ce fut celle d’une ame sainte qui remonte pleine d’espérance dans les mains de Dieu » dira Reisset.
Dés 1808, un décret de la congrégation des rites la reconnaissait « vénérable », « Je suis la servante de Dieu » disait elle souvent. « Ce mot si simple peint tout entier le sublime caractère de la vertueuse épouse de Charles Emmanuel , la sœur du roi martyr. Elle laissa d’impérissables souvenirs en Piémont et dans toute l’Italie. » Telle sera sa vie.
En1983, le pape Jean-Paul II fit promulguer un décret sur « l’héroïcité des vertus » de la reine, dernier pas avant la béatification.



Sources :
Divers ouvrages anciens sur Mme Elisabeth
« Mme Elisabeth, de Monique de Huertas - Perrin Réédition 2000
« Rois et princes canonisés » - Sophie de Cugnac PDV 1986 – Presse
« Lettres inédites de Marie Antoinette et de Mme Clotilde » - Vicomte de Reisset / Firmin Didot 1876

La plupart des illustrations consistant en ses portraits ont été déja signalé , mais je posséde un autre portrait dont j'ignore l'auteur, mais qui la représente :
http://ao2a.macron.free.fr/clotilde.jpg

Gentilhomme de la chambre


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 Sujet du message : Chartreuse de Florence
Message Publié : 26 Oct 2005 9:36 
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Fustel de Coulanges
Fustel de Coulanges

Inscription : 09 Août 2005 17:34
Message(s) : 3661
Localisation : Marseille
Citer :
Après Parme et Bologne, les fugitifs furent reçus par le Pape, lui-même réfugié prés de Florence

... à la Chartreuse (Certosa) à une dizaine de kilomètres du centre de Florence. Située dans un cadre enchanteur, cette Chartreuse (desservie aujourd'hui par des moines bénédictins) mérite la visite (bien que très peu de touristes s'y rendent) que je ne manque pas d'y effectuer à chacun de mes séjours florentins annuels.


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