Il s'agissait certainement d'une œuvre prophétique, alors.... En cherchant un peu, je constate que le Adémaï aviateur de Jean Tarride date de 1933 !

Fernandel n'apparaît que dans très peu de films durant la guerre : La Fille du puisatier de Marcel Pagnol (1940), Simplet (1942) et Adrien (1943) réalisés par Fernandel lui-même.
Naïs de Raymond Leboursier et Marcel Pagnol est sorti à la fin de 1945....

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

Dam Busters est surtout connu pour avoir inspiré l'attaque de l'Etoile Noire de la Guerre des étoiles !

De manière moins sérieuse, dans Firefox, l'arme absolue, Clint Eastwood vole un avion de chasse révolutionnaire, commandé par la pensée (russe) !

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Qui contrôle le passé contrôle l'avenir.
George Orwell

Les Hell's Angels, le film qui "fit" Howard Hugues.

Je l'ai vu il y a pas loin de trois décennies, mais j'ai le souvenir d'un film de plutôt bonne facture. Mieux qu'un Octobre Rouge, par exemple.

Le ressort comique d'Adémaï aviateur ce n'est pas la faiblesse de l'armée française mais le fait que deux apprentis aviateurs qui viennent prendre leur première leçon de vol et à qui leur chef a dit "attendez l'instructeur", Noël-Noël et Fernandel, se rencontrent inopinément dans le hangar à avion et que chacun d'eux pense que c'est l'autre l'instructeur. C'est seulement après avoir pris un avion, décollé et se retrouver en plein ciel que le malentendu est levé et que les ennuis commencent. Comme ils ne savent pas atterrir ils vont attendre que le réservoir se vide...
Ce qui rappelle un autre film avec Laurel et Hardy (Laurel et hardi légionnaires?) où ils font exactement la même chose.

Il y a aussi le film de Jean Grémillon: "Le ciel est à vous" avec Charles Vanel

On peut rajouter le premier film à avoir reçu l'Oscar du meilleur film : Wings/Les Ailes, film de 1927 sur les combats aériens de la Première guerre.
Puis il y a L'odyssée de Charles Lindbergh (The Spirit of St Louis), avec James Stewart, dans les années 50 ou Les Anges de l'Enfer (Hell's Angels) en 1930

cette conversation m'a donné envie, et je l'ai regardé hier soir. C'est vraiment du grand cinéma, avec d'ailleurs des scènes terrifiantes auxquelles on se s'attend pas forcément dans un film vieux de 90 ans.

Quand ja participais aux activités du ciné club de mon lycée vers 1956/57 nous avions vu un film d'avant guerre;;;;une histoire sur les"poux du ciel"( c'était peut être "Le ciel est à vous" ?..Le film s'inscrivait dans la nécessité de former de jeunes pilotes dont notre aviation militaire manquait tant......J'avais vu vers 1947 une histoire à propos d'un hydravion,piraté par des espions si je me souviens......Au total les films centrés sur l'aviation n'étaient pas si nombreux.......Il y a quand même eu" Le grand cirque" l'épopée de Closterman......

Fernandel a bouffé à tous les rateliers ; en même temps, avec sa dentition,



ça paraît logique.

Il fait partie de ces artistes qui furent interrogés à la Libération, concernant leurs prises de position pendant l'Occupation. Lorsqu'il lui fut demandé le pourquoi de sa fréquentation récurrente du restaurant de la Kommandantur, il répondit tout simplement : "Parce que le menu était bon".

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- "Heil Hitler !"
- "Heil Myself !"

"To Be or not To Be" - Ernst Lubitsch (1942)

Je ne suis pas sûr de l'avoir vu !

Par contre, du même réalisateur, j'ai bien vu "Le Pont de Remagen", et je me souviens que Robert Vaughn, dans le rôle d'un officier allemand, se fait fusiller.
(Bon, ça n'est pas la guerre, mais de Guillermin, je retiens surtout "La Tour infernale").

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- "Heil Hitler !"
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"To Be or not To Be" - Ernst Lubitsch (1942)

Le Crépuscule des aigles et Le Pont de Remagen sont deux grands classiques du film de guerre....
Et, dans ce dernier, Robert Vaughn incarne effectivement l'officier sensé commander la garnison du Pont de Remagen. Personnellement, je le trouve excellent dans ce rôle de loser magnifique, sacrifié dans une mission impossible.
Film rare, en plus, si l'on considère que le contexte est la campagne d'Allemagne de 1945.... Et, à mon avis, reste meilleur que le haineux Fury de David Ayer. Manifestement, au 21e siècle, on a souvent plus de moyens techniques, mais ça ne rend pas forcément plus intelligent....

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

Personnellement, j'ai toujours eu beaucoup de mal à "voir" la guerre, lorsqu'elle est représentée sur le plan cinématographique, comme un moment héroïque ou autre (je ne supporte pas les élans d'émotion du film de Benigni, "La Vie est belle"... Quel titre, quand on sait que la IIème GM c'est 50 millions de morts, la Shoah etc.). Par contre, grosse claque avec
https://www.youtube.com/v/6HCTIUx1Arc

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- "Heil Hitler !"
- "Heil Myself !"

"To Be or not To Be" - Ernst Lubitsch (1942)

Il faut savoir que 4 personnes trouvèrent la mort durant le tournage justement à cause des acrobaties. Howard Hugues lui-même participa et fut sérieusement blessé.

Justement, les films de John Guillermin sont - à mon sens - plutôt " anti-héroïques "....
Dans Le Crépuscule des aigles, le personnage de Bruno Stachel ( George Peppard ) est d'abord un petit sous-off qui rêve de quitter la boue des tranchées....
Quand il parvient à devenir pilote, il constate que ses nouveaux compagnons d'armes le toisent de haut, à cause de ses origines modestes. L'ambition de Stachel, c'est de devenir l'un des plus as de l'aviation allemande, essentiellement parce qu'il voit la chose comme une revanche sociale.... Le souci est que c'est un ambitieux sans scrupules, et prêt à tout pour parvenir à ses fins.

Guillermin a plutôt tendance à casser l'image du pilote de la Grande Guerre, qui se conduit toujours en gentleman chevaleresque. En cela, il est plus proche de la réalité que beaucoup d'autres.... Récemment le magazine Guerres et Histoire avait consacré un gros dossier sur les as des deux guerres mondiales ( tous camps confondus ) ; il y était démontré que pratiquement tous étaient fondamentalement des prédateurs impitoyables. Les " Chevaliers du Ciel " n'étaient qu'une belle légende....

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“La barbarie est l'état naturel de l'humanité, [...]. La civilisation n'est pas naturelle. Elle résulte simplement d'un concours de circonstances. Et la barbarie finira toujours par triompher.” ― Robert E. Howard

Une de mes marottes.

En tout premier, je dirais The Right Stuff (l'étoffe des héros), un film superbe et bien documenté.
Ensuite:
Flyboys, un film (romancé) avec Jean Reno, sur les aviateurs de 14-18
Red Tails, sur l'escadrille des Tuskegee Air Men, 2GM
The Aviator, sur Howard Hughes
Dark Blue World (romancé) sur les pilotes tchèques de la RAF pendant la 2GM
Cross of Honour: Norvège, 1942
les deux "Flight of the Phoenix", l'original et le remake
Dunkirk de Nolan, avec de superbes scènes de combat aérien, 2GM
Amelia, sur Amelia Earheart
Battle of England, classique des classiques de la 2GM
Dam Busters, classique de la 2GM
Always, de Spielberg sur les pompiers de l'air
Les têtes brûlées, la série sur "Papy" Boyington, 2GM dans le Pacifique
Spirit of St Louis avec James Stewart dans le rôle de Lindbergh
Waldo Pepper avec Robert Redford sur les pilotes démobilisés de la 1GM
Dawn Patrol avec Erroll Flynn
L'Equipage, de Litvak sur un scénario de Kessel , 1GM
Le Grand Cirque, évidemment, 2GM
Spitfire (1942) sur l'ingénieur Mitchell, avec David Niven et Leslie Howard, 2GM
le magnifique film de Spielberg (peut-être son meilleur): Empire of the Sun, avec les kamikazes qui se préparent

Un grand merci à Robert Spierre pour m'avoir fait découvrir l'existence d'Elem Klimov.

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message du Loire au Dalgonar, oct. 1913