NE LISEZ PAS SI VOUS VOULEZ VOIR LA SERIE.
Je vais faire une petite analyse de cette série, je l'ai vu deux fois, la première fois en mars quand elle a été diffusé sur BeTV, et la seconde fois cette semaine et la semaine passé, toujours sur BeTV. Autant dire que c'est encore bien ancré dans ma tête
.
Tout d'abord, la série n'est pas américaine mais plutôt britannique, même si elle est produite par des américains. Je le souligne, parce que même si je respecte les américains, il faut dire que question histoire ils nous ont habitué à des bourdes.
Enfin, il y a tout de même des erreurs historique, mais elles ne sont pas si grave, néanmoins je vais en souligné quelques une.
-Atia, la mère de Octave, n'était pas veuve.
-Il me semble que Marc Antoine ne reste pas à Rome mais part directement en Grèce avec César.
-Le fait que l'on pense que Octave était en Grèce quand son oncle est mort.
Mtn, ce sont plutôt des erreurs anecdotique je trouve, et certaines ont été fait par style artistique, par exemple j'ai trouvé amusant de voir Marc Antoine gouverné Rome à contre-coeur. J'ai bien aimé le procédé concernant l'assassinat de César: Il est clair qu'il n'y avait pas de Vorenus pour le protéger, donc les scénaristes ont imaginé que celui-ci serait éloigné de Caesar d'une certaine façon.
J'ai aussi aimé la personnalité de Brutus, on ne le décrit pas comme un vulgaire assassin cruel, mais comme un homme face à ses choix: assasiné le tyran pour restauré la République auquel il croit ou bien ne pas trahir son ami(Caesar donc) mais laissé Rome gouverné par un tyran. D'ailleur, après avoir fait l'irréparable, on le voit crié de rage parce qu'il ne voulait pas vraiment le faire. Le réalisateur a oublié la phrase historique de César("toi aussi mon fils"), c'est p-e une bonne idée car on ne peut pas être sûre qu'elle ai été vraiment dite, mais bon on aurait quand même voulut l'entendre.
J'aime aussi la façon de voir Marc Antoine: il n'est pas décrit comme un général romantique, mais plutôt un homme aimant la guerre et les femmes, mais fidèle à César au point d'en être que le second dans tous ce que ça implique.