Rien n'empêche les commerçants de continuer à jouer le jeu !
Aucune contrainte ne cantonne les Lyonnais au rôle de badauds. Et, comme je le disais précédemment, la relance "officielle" de la fête a bien entraîné une recrudescence des illuminations des fenêtres par les habitants. Il y a plus de lumignons qu'il y a vingt ans (mes comptages sont formels
)
Pour les commerces, je ne dis pas.
Mais on en revient au même problème : oui, c'est mieux quand c'est spontané plutôt qu'organisé et amené d'en haut, mais en l'occurence, Lyon était confrontée à l'érosion des illuminations spontanées qui menaient tout droit à la disparition pure et simple de l'événement. Elles existent encore : les autres évolutions constatées, quoi qu'on en pense, étaient certainement le prix à payer.