Le parallèle entre Héraclès et Jésus m'amuse!
Ceci dit, les éléments que j'apporte ne sont pas si "minces", la
résurrection est la clé de voûte de la symbolique du Christ.
Jésus ne dit pas qu'il est fils de Dieu, mais que
nous sommes tous fils de Dieu, et qu'une partie de nous -l'âme- ester subliminale, échappe à la vie purement physique!
Si vous préférez est-ce que les Grecs n'ont pas pressentis cette survivance de l'âme?
Est-ce que Jésus n'est pas inspiré par Héraclès?
L'importance de la survie de l'âme n'est pas anodine, quand
Odysseus rencontre
Achille le "
meilleur des Achéens" dans le pays d'
Hadès, celui-ci ne retrouve "ses esprits" qu'un court instant, après que Odysseus lui fit boire du sang de la victime qu'il avait préalablement immolé.
Jusque là, il n'y a pas de paradis, les louanges en mémoire des hauts faits d'Achille, sont présents chez les vivants mais, Achille ne les entend pas.
Revenons à la résurrection. Elle prend une valeur morale -haut faits-, mais surtout l'âme n'erre plus, l'homme prend conscience ou croit (cela dépend si vous êtes croyant ou non) de son âme -qu'il est autre chose qu'un simple agencement d'atomes!
Jésus incarne clairement ce principe, se développe l'idée de paradis mais c'est une autre histoire.