C'est à dire qu'il y a peut-être un lien entre l'emploi d'un des deux caractères (s ou "s en forme de f") en fonction de sa prononciation. Quand la lettre sonne "esse" ou "se", le "s en forme de f" s'écrirait. Quand il indique un pluriel et ne se prononce pas (sauf exceptions déjà évoquées), le s serait utilisé...En tous cas, ce qui est sûr, c'est que le "s en forme de f" n'est jamais employé pour marquer un pluriel (enfin, il me semble bien ne jamais l'avoir vu).

PS: je constate que le s a changé régulièrement de genre, passant du féminin au masculin. Il est aujourd'hui curieux de dire une s....Et pourtant...Il a même été bisexuel à certains moments !

Mais si l'on évoque la prononciation, il est étonnant quand on y pense que le "s", placé entre deux voyelles, n'est pas été progressivement remplacé par le "z" (on trouve parfois ce cas dans des manuscrits).

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Attila fit assassiner Bleda pour devenir l'hunnique empereur.

Ne pas confondre sexe et genre! La lettre "H" (entre autres) semble jouir de la même ambivalence quant au genre...

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"Le doute est le premier pas vers la conviction" (al-Ghazali, mort en 1111).

Il aurait été plus judicieux de citer le F qui est du même genre! Pour ce qui est du sexe, surtout ne pas le confondre avec une pointe d'humour...

Mieux encore: restons dans le sujet, si je peux m'exprimer ainsi...