@Faget : cette définition ?
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CHEVAU-LÉGERS, subst. masc. plur.
HIST. Corps de cavalerie légère de la garde du roi.
Au sing. Un chevau-léger. Soldat appartenant à ce corps :
On a dit de celui-ci [le duc de Rohan-Chabot] qu'il avait été voué au rouge, ayant porté l'habit de chambellan, l'uniforme de chevau-léger et la robe de cardinal.
CHATEAUBRIAND, Mémoires d'Outre-Tombe, t. 3, 1848, p. 364.
Prononc. et Orth. : [()]. Ac. 1694-1740 : chevaux-legers; Ac. 1762-1932 : chevau-légers. Toutes les éd. de Ac. donnent la possibilité d'écrire au sing. : un chevau-léger. Ac. 1878 ajoute : ,,Quelques-uns écrivent chevaux-légers``; à ce sujet, BESCH. 1845, Lar. 19e et LITTRÉ préfèrent la forme chevaux-légers même au sing. d'apr. le nom de la compagnie des chevaux-légers et considèrent l'orth. chevau-légers comme un barbarisme. Étymol. et Hist. 1495 plur. chevaulx legiers (COMMYNES, Mémoires, éd. J. Calmette, t. 3, p. 168); 1535 subst. plur. cheuaux legers (RABELAIS, Lettre à Monseignevr de Maillezais, éd. Marty-Laveaux, t. 3, p. 343); 1642 sing. cheuau leger (OUDIN, Recherches fr. et ital., Paris, 2e part.). Composé de cheval* et de léger*; chevau d'apr. le plur. chevaux, le mot n'étant que tardivement attesté au singulier. Fréq. abs. littér. : 29. Bbg. RISOP (A.). Ein Beitrag zur « Superposition syllabique ». (Cheveau-léger und Verwandtes). Arch. St. n. Spr. 1930, t. 158, pp. 84-95, 243-258
Si c'est cela, moi c'est le lien que j'arrive pas à copier ...