Perle d'un intérêt historique absolument déterminent...

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Scribant reliqua potiores, aetate doctrinisque florentes. quos id, si libuerit, adgressuros, procudere linguas ad maiores moneo stilos. Amm. XXXI, 16, 9.

Et c'est gaëte qui va répondre...
"Toutes les heures nous blessent mais la dernière tue"
Cette phrase se retrouvait très souvent au bas des "horloges solaires" mais ce qu'elle possède d'extraordinaire est qu'elle peut être déclinée hors les heures...
Le rapport à la vie, les éléments d'une argumentation, la sensibilité etc. Et ce qui est considéré comme "dernier(e)" est unique à chacun.
On peut donc s'approprier cette phrase et avec moi par exemple, elle ne représente très certainement pas la même chose que pour chacun(e) d'entre vous...

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Vous n'avez nullement à vous excuser, les conseilleurs eux-mêmes ont des tournures pour le moins redondantes. Il n'existe ni oubli ni maladresse de langage sur un forum "pour tous".
Moi la première, j'ai plus appris avec de "jeunes" intervenants en Histoire qu'avec de vieux profs pédants dont je me suis dépêchée d'oublier le nom.
Ces jeunes intervenants (HPT) notamment n'ont peut être pas dans la tête les imparfaits du subjonctif et la concordance des temps mais leurs explications quant à l'Histoire peut les en priver.
Quant à la phrase en question, je suis étonnée de l'explication d'Alceste, latiniste s'il en est

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Ceci était peut être bon pour notre époque Alceste mais il serait bon aussi de reconnaître que les plus doués en latin (theme) étaient généralent ceux qui suivaient la filière C (maths). Pour leur rigeur.
Pour les versions, de fait, les littéraires s'en "tirent" toujours mieux.
Pour ce qui est de la construction des phrases, je trouve l'argumentation un peu légère. Le verbe est rejeté à la fin, ce qui est, vous l'avouerez, loin d'être le cas en français.
Quand aux différents "où" (ubi, quo, unde, qua) suivi d'un "cas" de déclinaison, je n'ai retrouvé ceci que dans l'allemand.
Ubi : où es-tu ?
Quo : où vas-tu (le fameux Quo Vadis, film sympa)
Unde : d'où viens-tu ?
Qua : par où passes-tu, exemple de réponse : via apia avec barre au dessus des "a".

Je le redis, j'ai connu d'excellents latinistes nuls en dissertation et pour la philo (sans commentaire), nous sommes pourtant toutes deux de la "même classe d'âge"...

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)

Et non : la citation est Vulnerant omnes, ultima necat, je vous rappelle le rôle de la place du premier verbe lors d'une telle phrase, de plus lorqu'il y a virgule...
(c'est ce genre d'interprétation qui vaudra à Henry II d'Angleterre la mort que l'on sait... l'absence d'une virgule !)...
L'important n'est pas de savoir si oui ou non le latin sert pour comprendre le français ou vice et versa mais d'avoir un bon intervenant face à soi.
Tout mon latin, tant bien connu ne m'aurait guère servi si un certain intervenant ne m'avait expliqué toutes les étapes d'un cursus honorum, l'importance de Rome en tant qu'Urbs et j'en oublie... d'une manière fort pédagogue qui n'a rien à envier aux professeurs que j'ai "jadis" connu qui auraient sans doute été bien à mal de l'expliquer puisque je ne l'ai retenu !
L'intervenant se reconnaitra et on me donne l'occasion de le remercier un fois de plus car toute latiniste que je suis, ceci n'était pas gagné...

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"... Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé." (Sophocle)