Bon, c'est peut-être ici sur sa place non plus...
Lors d'une discussion dans un fil dans l'Agora/les Avatars, une intervenante a écrit:
"Moosella a écrit:
Le chardon, symbole de Nancy, capitale du duché de Lorraine, associé à la devise "qui s'y frotte s'y pique" (non inultus premor).
Je le collectionne en photos."
Robert Spierre a répondu avec la même dévise dans l'album de Hergé: Le Sceptre d'Ottokar: "Eih bennik eih blavek".
J'ai répondu que l'interprétation, même donnée dans l'album, de "qui s'y frotte s'y pique" n'est pas la bonne, mais "j'y suis j'y reste".
J'ai fait maintenant tant de travail de l'"étude"
pour que ça reste dans l'oubli...
?
http://users.skynet.be/vincent.rixhon/E ... Herge.htmlEt de cet URL:
"C'est du Royaume du Pélican noir que provient ce sceptre datant du roi Ottokar IV. La Syldavie, ce petit pays qui a pour devise "Eih bennek, eih blavek" (que Tintin traduira par "Qui s'y frotte s'y pique", en brusselaire, cela veut simplement dire "J'y suis, j'y reste!"), a aussi son symbole d'unité matérialisé par ce sceptre détenu actuellement par sa majesté Muskar XII, roi actuel de Syldavie. La Syldavie est là, dans l'imaginaire Hergéen, pour nous rappeler un autre petit royaume..."
http://es.wikipedia.org/wiki/SyldaviaEt de cet URL:
"Idioma syldavo
A pesar de la aparente cultura eslava del país, el idioma es germánico, aunque se escribe con caracteres cirílicos. Esto es así porque Hergé inventó la lengua syldava basándose en el dialecto de Marols del neerlandés hablado en Bruselas, mezclado con palabras francesas y de otras lenguas y fusionando y añadiendo letras a las palabras para despistar a los lectores. El idioma inventado por Hergé tiene por ello bastante coherencia, y de su análisis se deduce que el lema nacional syldavo, Eih bennek, eih blavek, significa literalmente "Aquí estoy y aquí me quedo" (Hier ben ik, hier blijf ik en neerlandés) y no "Quien con él se roza, con él se pincha", que es la errónea traducción que da el folleto turístico que Tintín hojea en el avión que le lleva a Syldavia por primera vez."
Concernant le Brusseleer:
http://www.tintinlanguages.nl/marollen2.htmlEt le lien de Savinien dans le fil "Avatars":
http://fr.wikipedia.org/wiki/BrusseleerEt j'ai aussi trouvé quelque part que la devise de Hergé vient des mots du général français Mac Nahon après la conquête d'une forteresse prés de Sébastopol: "J'y suis, j'y reste".
Cordialement,
Paul.