Merci pour votre réponse Alain
En effet, Poincaré avait d'abord hésité et était même enclin à écouter les partisans d'une revalorisation. Mais la Banque de France notamment prit pour exemple l'échec de la revalorisation de la livre sterling qui s'était effondrée.
La stabilisation fut en quelque sorte un retardateur de la crise qui surviendra en 1931, si bien que l'on crût un temps que la France serait épargnée par la crise.
Aussi, la stabilisation sonna le glas de tous ceux qui espéraient le retour à cet âge d'or de la Belle Epoque, ceux qui voulaient retrouver un franc à sa parité d'avant-guerre. Mais c'était peine perdue.
Quoi qu'il en soit, il en est un qui put sourire de son nouveau "Verdun Financier": Poincaré partait (maladie - 1929) avec les honneurs.