J'ai vu un film qui parlait des rapports entre la classe industrielle allemande et l'Etat Nazi : "Les damnés", de Visconti. Si mes souvenirs sont bons, Hitler ne s'est pas privé de tirer de l'argent de là où il pouvait !
(comme tout gouvernement glouton d'ailleurs).

En 1945, il semblerait qu'il soit resté des sommes astronomiques volées aux israëlites dans les coffres de certaines banques ! J'ai même entendu dire que des groupes aux méthodes peu orthodoxes feraient fructifier cet argent. Certains bénéficiaires auraient même leurs effigies sur des pièces de monnaie ! Mais on entend tellement de choses !

Pas mal de commerce avec la Grande Bretagne, qui a longtemps joué double jeu avec à Hitler.

L'or tcheque, gracieusement offert par le Royaume Uni(et la France ?) comme bonus pour avoir annéxé le pays.

Savoir aussi que certaines banques américaines ont financé le parti nazi. Que des munitions ameriainces aussi leurs ont été apportés en nombre aux débuts. Voir ici.

Je pense qu' Hitler n'a pas manqué de financements disons "étranger" pour mener sa restructuration.

Il y a il me semble un lien très fort entre les financements de l' "entreprise nazi" et le remplacement des SA par les SS dans le massacre initutlé "la nuit des couteaux". Les SA, trop désireux de politques sociales, de lutte contre le pouvoir financier ( ne jamais oublié que l'un des fondements de l'antisemitisme réside dans l'assimilation "hasardeuse" de l'élite financière au peuple juif, hasardeuse parce que tous les juifs ne sont pas puissants, et parceque tous les puissants ne sont pas juifs) se sont fait mettre à l'écart de manière plutôt violente. Ce massacre est pour moi révélateur d'une certaine réalité de cette élite financière, et surtout de sa participation au financement du IIIe Reich.

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Le monde est ce que l'on en fait.

Il y a beaucoup de raisons différentes et souvent complémentaires à la Nuit des Longs Couteaux .

J'en vois deux qui ont une face "économique" :

a) Rhoem ne cessait de parler de la deuxième révolution,cad d'une révolution "socialiste" ce qui n'arrengeait pas du tout les bailleurs de fonds .

b) Rhoem parlait d'une intégration de la SA dans la Wermacht avec équivalence de grade .
Or les SA avaient fait surtout carrière dans les brasseries et les incorporer grade pour grade aurait eu pour effet de rendre l'armée "non opérationnelle " sans doute pour très longtemps .
Sans armée ,pas de guerre.
Sans guerre pas d'armes .
Sans armes ,pas de bénéfices ...

Deux raisons économiques majeures pour mourir ...

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A Berthold le Noir,
Et Hiram Maxim ,

L'Humanité reconnaissante !

Personnellement j’ai de la peine à voir l’économie du III Reich comme une grande réussite de la part des dirigeants politiques et Hitler en particulier.
Quand les nazis prennent le pouvoir la grande crise économique du pays a déjà commencé de prendre fin et la situation économique s’améliore. Hitler, qui avait, ne l’oubliez pas, réussi à gagner les élections grâce aux soutiens plus que généreux de la part de la grande industrie allemande continue à favoriser grandement cette dernière. Les syndicats seront supprimés dès 1934, la création des monopoles ne sert guère des intérêts du citoyen allemand de la classe moyenne. Krupp se permet des ventes à double prix des prix d’exportation à l’armée allemande, s’enrichissant à l’infinie. Le standart de vie reste plutôt constant, excepté l’augmentation du PIB, qui est dû à l’industrie de guerre, sans oublier la crise de nourriture, qui est résultat de la politique du NSDAP. Le budget militaire augmente de 20% en 1933 à 80% en 1939 du budget national !
Hjalmar Schacht, dont je ne veux nullement nier le talent, ne fait qu’appliquer une série d’idées, fruits du génie des financiers allemands de la République de Weimar, qui n’ont pas pu, faute de la manque d’argent, les appliquer avant.
Enfin, le chaumage, qui de 6 millions en 1933 se voit diminué à 300 000 en 1939 est en partie corrompu par la propagande nazie. Les femmes n’y figurent pas, ni les juifs, qui ont perdu leur nationalité en 1935. Le gouvernement avait des méthodes simples pour diminuer le chaumage – si quelqu’un n’était pas capable de travailler, on lui donnait le choix entre un travail pour le gouvernement, toujours insupportable ou un champ de concentration.

Pas tout à fait d'accord sur le dernier post :
a) Le départ des israélites (un autre post l'a démontré) n'a pas changé grand chose au chômage .
b) le chômage s'est régulé tout seul par la formidable offre d'emplois créés : construction d'équipements lourds (autoroutes en particulier) mais aussi et surtout incorporation dan une armée des services de police et une administration titanesque .
Des emplois "non productifs" ,mais des emplois (sur le papier du moins) ....

Ensuite ,il est vrai qu'il n'était pas question de refuser du travail ... et ce travail était payé au même prix que les allocations de chômage,ce qu'on oublie souvent de dire ....

Voir à ce sujet le film "L'oeuf du serpent" qui dépeint la situation sociale des années 33 et suivantes ...

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A Berthold le Noir,
Et Hiram Maxim ,

L'Humanité reconnaissante !

Lesquelles ? Celles de réarmer l'Allemagne et de construire une grande armée pour attaquer les Alliés ?


Mais, ils ne représentent même pas 1% de la population allemande...


Il s'agit plutôt de la politique de grands travaux menée par le régime nazi et le réarmement de la Wehrmacht et de la Luftwaffe.
Les femmes avaient un autre rôle dans la "nouvelle société" et recevaient une prime pour rester au foyer, voire s'occuper d'associations caritatives du NSDAP.

duc de Raguse.

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Un peuple sans âme n'est qu'une vaste foule
Alphonse de Lamartine

A t-il été membre du parti nazi ?

Je ne crois pas.

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)