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Mais les nouveaux MEEF signent la fin des exigences disciplinaires et de cours assurés par des enseignants-chercheurs.
Je croyais que ces enseignants-chercheurs n'attendaient qu'une chose des ex-IUFM : en partir.
Donc, ils sont là ou pas ? Il faudrait savoir...
Ils sont tous partis en deux semaines ?
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qui notent les étudiants sont des professeurs ex-iufm et, à présent, des professeurs ESPE. Beaucoup de professeurs (PRAG, MCF...) ont refusé de participer au Master enseignement, laissant une porte ouverte pour ceux qui le voulaient... des profs ex-iufm.
Cela dépend des lieux cher Pompée. On ne peut tirer une généralité d'exemples isolés, d'autant plus que tout à été fait pour que les informations ne circulent pas. (les ESPE n'ont pas de voix officielle jusqu'à la fin de l'année civile)
Ce qui est certain, c'est que le ministère et les rectorats font tout pour que la fausse idée d'enseignants et d'enseignants-chercheurs "scélérats" en ESPE se diffuse auprès des UFR d'Histoire. Vu le vieux mépris y régnant pour ces universitaires de seconde zone, la note n'a même pas été forcée...
Ainsi, à bon compte la communauté universitaire se divise et le rectorat se peut se frotter les mains, sidérant !
Dans mon académie, le rectorat s'est rangé au départ du côté de l'UFR d'Histoire pour "plumer" l'ex-IUFM, avant de se retourner contre ses anciens alliés de circonstance lorsque l'ESPE a été conçue et leur donner le coup de grâce.