MacGregor,
N'oublie pas que ce forum n'est pas destiné à une "aide aux devoirs". J'ai un peu l'impression que tu attends un plan "clefs-en-main", ce qui ne serait pas te rendre service.
Nous t'avons suggéré quelques orientations de recherche et indiqué quelques éléments bibliographiques. Il t'appartient maintenant de faire l'effort de te documenter et d'élaborer ton plan en fonction de ce que tu liras. En effet, le sujet que tu dois traiter suppose que tu es probablement étudiant et, à ce titre, capable :
- de circonscrire le sujet (ce qui suppose quelques connaissances générales sur la période - connaissances qui sont
a priori fournies par le cours et la lecture des manuels de base) ;
- de constituer une bibliographie susceptible de t'éclairer sur le sujet que tu as à traiter ;
- de faire le tri, dans cette bibliographie, entre les informations selon leur intérêt : essentielles, connexes, anecdotiques ou s'écartant du sujet ;
- d'élaborer un plan en fonction de ce que tu auras collecté. Le plan pourra être chronologique ou thématique, le tout est qu'il évite au maximum les redites : si le plan choisi contraint à répéter plusieurs fois les mêmes choses, c'est qu'il y a mieux. En d'autres termes, une dissertation d'histoire n'est pas une chanson qui multiplie les refrains ;
- de synthétiser ce que tu auras appris, éventuellement en apportant quelques touches personnelles (interprétations, comparaisons). Attention tout de même : tout doit rester
pertinent. A utiliser avec parcimonie et avec recul : une intuition peut paraître géniale un soir et, à bien y réfléchir, grotesque le lendemain. C'est gênant lorsque, entre les deux, on a rendu sa copie !
Raison de plus pour ne pas attendre lorsqu'un sujet est distribué...
Voilà pour le fond.
Pour ce qui est de la forme, il importe de rédiger un texte clair et agréable à lire. Des fautes d'orthographe trop fréquentes et une syntaxe approximative ont le don d'exaspérer les correcteurs. (En licence, mon prof d'histoire moderne tolérait quatre ou cinq "coquilles" sur l'ensemble d'une dissertation ; au-delà, il retirait des points.) Inversement, inutile de déployer l'artillerie lourde des effets de style et de tomber dans le lyrisme. Au mieux, ce dernier nuit aux propos ; au pire il sert à faire oublier que l'on n'a rien à dire...
PJ