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 Sujet du message : La Dernière légion.
Message Publié : 20 Sep 2007 0:08 
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Grégoire de Tours
Grégoire de Tours
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Sorti au cinéma cette semaine, j'avais lu le livre que j'avais beaucoup aimé.
En plus de l'aventure qui recoupe beaucoup de mythes européens (roi Arthur, Excalibur, naissance de Venise etc....), sont mélés des personnages hitsorique de la fin de l'empire romain.
L'époque et le coté hisotrique sont parfaitement décrits.
L'auteur est Valerio Manfredi, archéologue, historien, professeur à l'univesité, et romancier italien.


Manfredi Valerio (1943)
Nationalité: Italienne

Biographie :
Valerio Manfredi est archéologue de profession, catégorie Etrusques. Il a publié plusieurs essais sur l'Antiquité, ainsi que des romans.

Diplomé en lettres classiques , spécialisé en topographie du monde antique, il est également journaliste et enseignant universitaire - Précision de Jahjah, le 09 janvier 2004.......

Diplômé en lettres classiques et spécialiste en « topographie du Monde Antique », Valerio Manfredi partage ses activités entre la recherche, l’enseignement universitaire et l’écriture. Archéologue réputé et journaliste à Panorama et au Messagero, il a publié plusieurs ouvrages dont la trilogie d’Alexandre le Grand (Plon 1999) qui s’est vendu à 3,5 millions d’exemplaires à travers le monde.



Le livre :

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Présentation de l'éditeur

Fidèle à ses grandes fresques historiques, Valerio Manfredi emmène le lecteur 500 ans après la chute de l’Empire romain.
Ambrosinus qui avait été le percepteur de Romulus Auguste, le dernier des César, est rejoint par un enfant et entreprend de lui raconter l’histoire de son père.
Dans le nord de l’Italie, Arbogast le chef des barbares enlève le dernier César, âgé de 12 ans et son précepteur. Alors qu’Elia Serena, la mère de l’enfant, se voir obligée d’épouser Odoacre, le chef des milices barbares, Ambrosinus et le jeune César sont exilés. Mais le colonel romain Valerius Giulianus, aidé d’un ancien légionnaire et d’une belle romaine, parvient à les retrouver. Ils partent alors rejoindre la dernière légion au cours d’un long et dangereux périple. Leur course les entraîne jusqu’en Bretagne, mais ils sont poursuivis par les barbares qui veulent supprimer Romulus Auguste et mettre le fils d’Argogast à la tête de Rome. Lors de l’affrontement final entre les barbares et la dernière légion, Romulus Auguste, devenu homme, brise l’épée de bois qui était son jouet et brandit l’épée de Jules César pour l’enfoncer dans le corps de son ennemi Arbogast. Les barbares sont vaincus.
Tout au long de ce roman grandiose, la fidélité aux idéaux, l’amitié, l’ amour, le courage, l’altruisme et la passion tiennent le lecteur en haleine. Mais l’épilogue le surprendra encore plus. En effet, Ambrosinus confie au fils de Romulus Auguste que l’épée de Jules César se nomme maintenant Excalibur.
L’enfant n’est autre qu’Arthur et Ambrosinus, Merlin.
C’est donc avec l’espoir d’une nouvelle civilisation en train de naître que se termine La Dernière Légion



Citer :
Analyse :

ANALYSE
Note de Valerio Manfredi, à propos des sources de son roman
La chute de l'Empire romain est l'un des grands thèmes de l'histoire de l'Occident, mais aussi l'un des plus mystérieux du fait de sa complexité, de la rareté des sources et des témoignages concernant l'époque de son déclin définitif. En outre, cet événement, traditionnellement jugé catastrophique, est, d'un point de vue historiographique, totalement conventionnel. En effet, en 476 après Jésus-Christ, personne ne se rendit compte que le monde romain avait pris fin : les événements qui s'étaient succédé n'étaient pas plus traumatisants que ceux qui se produisaient quotidiennement depuis de nombreuses années. Tout simplement, Odoacre, le chef hérule qui avait déposé Romulus Augustule, envoya les insignes impériaux à Constantinople en affirmant qu'un empereur était plus que suffisant pour tout l'Empire.

A travers cette histoire, qui est en grande partie le fruit de mon imagination, j'ai tenté de reconstituer cet événement dans son contexte historique, mais aussi de mettre en évidence la naissance de nouveaux mondes, de nouvelles cultures et de nouvelles civilisations aux racines encore vitales dans le monde romain. La conclusion «arthurienne» de notre histoire doit être prise dans son sens symbolique de véritable parabole, mais pas seulement : les chercheurs reconnaissent désormais que les événements qui engendrèrent la légende du roi Arthur, codifiée au Moyen Age par Geoffrey de Monmouth, se déroulèrent à la fin du Ve siècle en Grande-Bretagne, et comptèrent parmi leurs acteurs principaux le mystérieux et héroïque Ambroise Aurélien, solus Romanæ gentis («le dernier des Romains»), vainqueur de la bataille de Mount Badon contre les Saxons, prédécesseur de Pendragon et d'Arthur. Au niveau populaire, nous considérons ces personnages comme des chevaliers médiévaux, alors qu'ils étaient beaucoup plus proches du monde romain. La tradition selon laquelle les Romano-Bretons du Ve siècle invoquèrent à plusieurs reprises l'aide de l'empereur contre les envahisseurs du Nord et du Sud, obtenant deux fois du général Ætius l'envoi de Germain (2), figure mystérieuse, à mi-chemin entre le saint et le guerrier, correspond également à la vérité. D'autres personnages, tels que le Celte Myrdin, le Merlin de la légende, sont, en revanche, tirés du corpus épique du cycle arthurien, qui tourne autour de l'épée mythique Excalibur, dont le nom a récemment été interprété par d'illustres celtistes comme une crase des mots latins ensis caliburnus, c'est-à-dire «épée forgée par les Chalybes», expression qui nous ramène au milieu méditerranéen. Cette histoire se présente donc comme une hypothèse mythique et symbolique, inspirée par des événements historiquement reconnaissables qui, au crépuscule du monde antique, auraient pu se rapprocher de cette zone d'ombre dont le mythe arthurien tire son origine.

Pour cette fiction littéraire, j'ai choisi le point de vue d'un groupe de soldats romains loyalistes, dépositaires de la tradition, qui considèrent les barbares comme des étrangers féroces et dévastateurs, une attitude effectivement très répandue à l'époque. La durée éphémère des royaumes romano-bretons fut justement causée par le fossé qui opposait les populations romanisées aux envahisseurs. Aujourd'hui, on préfère au terme «invasions» celui de Volkerwanderung, de migrations, mais le résultat demeure identique. En notre époque aussi troublée, l'Occident, qui se croit d'une certaine façon immortel et indestructible (tout comme l'Empire romain de la meilleure période), devrait méditer cette leçon : tôt ou tard, les empires s'écroulent, et la richesse d'une partie du monde ne peut cohabiter avec la misère des autres populations. Ceux qu'on appelait alors barbares ne voulaient pas la destruction de l'Empire, ils souhaitaient en faire partie, et nombre d'entre eux le défendirent au prix de leur vie. Mais ils provoquèrent sa chute en précipitant le monde dans une longue période de dégradation et de désordre.

Certains personnages du roman laissent entrevoir par leur façon de s'exprimer une survivance résiduelle de sentiments païens, qu'il est difficile de justifier à la fin du Ve siècle, mais qui n'est pas totalement improbable, au vu des signaux que nous révèlent des sources plus tardives. De tels sentiments traduisent ici l'attachement à la tradition et au mos maiorum (3), qui n'était peut-être pas totalement éteint. En ce qui concerne le personnage de Romulus, et l'âge, controversé dans les sources, auquel il fut déposé, j'ai préféré la version de Excerpta Valesiana, 38, qui le définit comme un enfant : «Odoacar... deposuit Augustulum de regno, cuius infantiam misertus concessit ei sanguinem...» (Odoacre déposa Augustule et épargna sa vie par compassion pour son jeune âge...).

Le lecteur averti reconnaîtra dans la trame du roman un grand nombre de sources issues du Bas-Empire latin, pour la plupart : les Histoires d'Ammien Marcellin, le De reditu suo (4) de Rutilius Namatianus, le De gubernatione Dei de Salvien, l'Histoire de la guerre gothique de Procope de Césarée, l'Historia Lausiaca de Palladius, l'In Rufinum de Claudien, l'Anonymus Valesianus, la Chronique de Cassiodore et la Vita Epiphanii, ainsi que des références occasionnelles à Plutarque, Orose, saint Ambroise, saint Augustin, saint Jérôme; enfin, une série de sources du haut Moyen Age, qui sont la base de l'épilogue «britannique» de notre histoire : l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais de Bède le Vénérable, le Comitis Chronicon et le De exitio Britanniæ de Gildas.
http://www.peplums.info/pep43.htm







Le film

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Casting

John Hannah, Ben Kingsley, Aishwarya Rai, Colin Firth, Peter Mullan, Kevin McKidd


Réalisateur Doug Lefler

Durée 01:41:00

Date de sortie19.septembre.2007

GenreAventure

LA DERNIÈRE LÉGION" Synopsis

Rome, 476 après J-C : l'empire est menacé par les armées barbares.Oreste, maître de l'Empire romain d'Occident assiste au couronnement de son fils Romulus Auguste. Celui que l'on va nommer à présent le dernier des Césars est désormais menacé d'un grand danger.Malgré la protection d'Aurelius, commandant de la quatrième légion, Romulus est capturé par Odoacre, chef des Goths. Emmené sur l'île forteresse de Capri, il y découvre la légendaire épée de César marquée de la prophétie "Un côté pour défendre, un côté pour vaincre... Destinée à celui... appelé à régner."Avec ses frères d'armes, Aurélius, la magnifique et dangereuse Mira, Romulus et le magicien Ambrosinus partent en Angleterre à la recherche de la valeureuse neuvième légion, dernière armée fidèle à Rome...

La bande d'annonce :

http://www.allocine.fr/video/player_gen ... 24375.html


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 Sujet du message : Re: La Dernière légion.
Message Publié : 20 Sep 2007 14:09 
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Fustel de Coulanges
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Outre le film, qui d'après toutes les critiques, à l'air d'être le nanard de la décennie, ce passage me semble curieux:

Obiwan Kenobi a écrit :

Fidèle à ses grandes fresques historiques, Valerio Manfredi emmène le lecteur 500 ans après la chute de l’Empire romain.
Ambrosinus qui avait été le percepteur de Romulus Auguste, le dernier des César, est rejoint par un enfant et entreprend de lui raconter l’histoire de son père.


500 ans après la chute de l'empire? Vers 976 environ donc? Et le percepteur de l'enfançon empereur vivait encore? :lol:

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"[Il] conpissa tous mes louviaus"

"Les bijoux du tanuki se balancent
Pourtant il n'y a pas le moindre vent."


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Message Publié : 20 Sep 2007 16:24 
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Grégoire de Tours
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Inscription : 10 Fév 2006 8:59
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Cela doit etre une coquille du site internet voilà tout.

N'ayant pas vu le film je n'en dirais rien personnellement à part pour présenter sa sortie, quand à la qualité dudit film, je garderais l'humilité qui sied à l'ignorant quand il veut éviter le ridicule.


Par contre ayant lu le livre, m'étant renseigné sur l'auteur, je me permets un modeste avis.

Passé le jeu ludique du roman, et du téléscopage du "mythe" et de sa correspondance à l'histoire (que l'on peut toujours moquer si l'on aime pas le genre), la cohérence historique, et la reconstitution historique de l'époque et des personnages réels (Oreste, Odoacre etc...), sont du niveau d'un universitaire spécialisé qu'est Valério Manfredi (qui est quand meme professeur d'université en archéologie Etrusque et spécialiste de l'antiquité), donc peut etre digne d'un minimum de confiance.

Avec la restriction de mise sur l'historicité, que l'auteur fait dés le début (voir dans mon premier post), et qui permets justement l'introduction ludique du mythe et du roman.



Citer :
....La chute de l'Empire romain est l'un des grands thèmes de l'histoire de l'Occident, mais aussi l'un des plus mystérieux du fait de sa complexité, de la rareté des sources et des témoignages concernant l'époque de son déclin définitif......


Mais pour autant, on retrouve dans le livre un certains nombre de sources (presque toutes en fait) incontournables, pour la période.

Citer :
....Le lecteur averti reconnaîtra dans la trame du roman un grand nombre de sources issues du Bas-Empire latin, pour la plupart : les Histoires d'Ammien Marcellin, le De reditu suo de Rutilius Namatianus, le De gubernatione Dei de Salvien, l'Histoire de la guerre gothique de Procope de Césarée, l'Historia Lausiaca de Palladius, l'In Rufinum de Claudien, l'Anonymus Valesianus, la Chronique de Cassiodore et la Vita Epiphanii, ainsi que des références occasionnelles à Plutarque, Orose, saint Ambroise, saint Augustin, saint Jérôme; enfin, une série de sources du haut Moyen Age, qui sont la base de l'épilogue «britannique» de notre histoire : l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais de Bède le Vénérable, le Comitis Chronicon et le De exitio Britanniæ de Gildas....



Bref pour ce qui est du livre, certe c'est un roman avant tout, un roman historico-mythique meme (si je peux me permettre ce barbarisme), mais cela n'est pas pour autant le Da Vinci code au niveau de la cohérence historique.


Pour shématiser c'est plus à rapprocher "du nom de la rose" d'Umberto Ecco, que de Dan Brown.

Quid du film ??? c'est une autre question, un autre débat, je sais que l'auteur y a été associé c'est tout, alors que reste t'il de la qualité du livre, passé à la moulinette d'Hollywood ????


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Message Publié : 20 Sep 2007 16:34 
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A part que les légions ont quitté la Bretagne en 407, 70 ans avant les évènements relatés dans cette histoire. :lol:

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Il n'est pas nécessaire d'espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer (Guillaume le Taciturne)


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Message Publié : 20 Sep 2007 17:15 
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Grégoire de Tours
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Jean-Marc Labat a écrit :
A part que les légions ont quitté la Bretagne en 407, 70 ans avant les évènements relatés dans cette histoire. :lol:


Exact, et d'ailleurs il n'y a plus de légion en Bretagne dans le livre ni dans le film depuis trois générations au moment de l'action et cela est bien spécifié (d'ou l'interet de lire le livre ou voir le film avant d'en tirer des conclusions hatives).

La dernière légion est en fait un groupe de 5 hommes survivants, de la dernière légion organisée et réellement romaine, massacrée en Italie par Odoacre au début de l'histoire.

Et l'histoire du livre c'est en fait l'épopée de ces 5 hommes qui traversent tout l'Italie et la Gaule avec le fils d'Oreste et "l'épée de César", pour se refugier en Bretagne, traqués par un escadront de germains au service d'Odoacre.

C'est une odyssée dans ce qu'est devenu la partie occidentale de l'empire, et ses différentes divisions politiques et rapports de forces.

On découvre entre autres, les débuts de Venise, le royaume de Syagrus (je crois qu'on y croise aussi, si je me rappelle bien Sainte Geneviève), les principauté bretonnes aux prises avec les invasions germaines (donc aprés le départ des légions effectivement) et plein d'autres contrée.

Non la vraisemblance chronologique est une des grandes forces du livre justement.


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Message Publié : 20 Sep 2007 17:29 
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J'avais lu celui ci:

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Ou un Romain du IIIème siècle retrouve la trace d'une légion ayant fui en Chine après la défaite de Crassus. C'est effectivement bien fait.

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Message Publié : 20 Sep 2007 17:44 
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Grégoire de Tours
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Jean-Marc Labat a écrit :
J'avais lu celui ci:

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Ou un Romain du IIIème siècle retrouve la trace d'une légion ayant fui en Chine après la défaite de Crassus. C'est effectivement bien fait.


Je ne connais pas ce titre mais cela m'interesse merci du renseignement, je sais qu'il a écrit aussi sur Alexandre le grand, sans savoir là encore ce que celà vaut. (Une trilogie si je ne m'abuse).

Apperement le titre que vous me montrez est un peu dans la meme veine, le meme esprit que "La dernière légion".


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 Sujet du message : pas mal
Message Publié : 07 Nov 2007 14:40 
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Hérodote
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j ai bien aimer le roman mais le film est vraiment survolé, les personnages sonnent creux et ne sont pas assez travaillés ; un bon nanar pour les soirs d insomnie.


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Message Publié : 08 Nov 2007 0:27 
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salut,

je viens de voir le film est bien on peut dire que là ils se sont dépassés dans l'absurdité et le politiquement correct !

ridicule...

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"la guerre est la paix"
"la liberté est l'esclavage"
"l'ignorance est la force"

(1984 G.Orwell)

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