Bon, je n’ai pas l’intention de faire un procès à Narduccio loin de là, mais je vais revenir en détail sur l’exemple auquel nous faisons tous deux référence, parce que pour ma part, c’est un exemple flagrant d’abus, et le fait que même avec le recul tu ne comprennes pas que tu étais dans ton tort prouve qu’il est impossible pour un modo d’être neutre sur un sujet où il participe. Tous tes collègues en sont conscient et ont volontairement choisi la règle tacite de s’abstenir dans ces cas là. Pas toi. Je risque d’être peut-être un peu sévère, mais ce bidouillage me pèse, et c’est bien le seul.
Voilà l’incident en question, qui commence milieu de page.
Les cartes de Piri ReisJe résume :
Le sujet est sensible, puisque entaché de mystère etc. Ok. Un nouvel intervenant se présente, en l’occurrence gregw, qui propose un éclairage intéressant (rareté remarquable dans ces thèmes !), à savoir que la carte n’a rien d’exceptionnelle pour le XVIe et ne présente aucun mystère, arguments et bibliographie sérieuse à l’appui.
Narduccio exaspéré par les interventions précédentes charge à l’aveugle violemment (« votre argument est d’un sophisme » « si vous arrêtiez de prendre les gens pour des idiots »).
Interloqué, j’interviens, et gentillement hein, enfin au début, pour défendre gregw qui n’avait rien à voir avec les hurluberlus précédents.
Très vite le ton monte, et j’ai largement ma part de responsabilité, bien sûr, mais pas l’exclusivité.
Que se passe-t-il quand un intervenant n’a rien à dire, ne connais pas bien son sujet et veut couper court ? Soit il se taille, soit il attaque la forme à défaut du fond.
Alors Narduccio attaque la forme, avec tous les poncifs (« prouvez-moi que j’ai tort », « au fond de vous, vous savez que j’ai raison », « il vous est plus facile de m’attaquer personnellement », etc.). Classique. Mais là, poum, grosse différence, Narduccio se rappelle soudain son statut et enfourche sa casquette rouge pour me donner un carton hé ho je suis un modo, alors un autre ton avec moi, hein !
Qu’un modérateur intervienne à ce moment, normal, le ton devenait effectivement trop vif. Florian l’a fait peu après, aucun problème, d’autant qu’il me semblait s’adresser à tout le monde et pas qu’à ma pomme. Mais là en l’occurrence, c’est le participant qui a ouvert les hostilités, qui a catalogué et qui refuse d’écouter quoi que ce soit, qui se permet de faire la morale ! Quelle crédibilité lui donner après cela !
C’est l’exemple typique d’une implication vicérale qui trouble le jugement. Non, ce n’était pas à Narduccio d’intervenir, il avait tort quant aux intentions qu'il prêtait aux uns et aux autres (et c’était pour la forme un peu l’hôpital qui se foutait de la charité, ce qui n’étais pas fait pour calmer les esprits, du moins le mien).
Maintenant qu’on se comprenne bien, je n’ai rien contre la modération de Narduccio en général. J’ai déjà été modéré, cela c’est très bien passé, ils avaient raison, je l’ai admis de bonne foi et fait mon mea culpa. J’ai déjà été modéré par Narduccio. Aucun problème.
Mais ce cafouillage m’a exaspéré. Nous nous sommes expliqué après coup pour une autre broutille, je pensais ou j’espérais qu’il avait au moins compris mon point de vue. Ben nan, Narduccio n’a toujours pas compris le problème ni fait la mondre remise en question, or ce genre d’attitude porte préjudice à l’image générale de la modération.
Ceci dit, ce genre de péccadille est certes agaçante, mais plus que rare. Je suis écœuré par la lecture du site pâtissier « Donner-leur des Tartes » qui crache en veux-tu en voilà dans la soupe à laquelle ils s’abreuvent tous les jours, le tout suintant de mauvaise foi et de manipulation démagogique pitoyable, de la part de gugus qui n’ont jamais daigné adresser le moindre reproche public ou privé, 13 pages minables dont la lecture laborieuse m’a convaincu de ne pas y mettre davantage les pieds.
Je suis lecteur et participant depuis plus d’un an, avec irrégularités. Ce qui fait plusieurs milliers de messages lus. Et en tout et pour tout, je n’ai qu’un reproche à faire à la modération, celui-ci, un seul et unique exemple d’abus notoire pour ma part. Un pauvre arbre au milieu de la plaine qui attire la foudre. Vraiment pas de quoi généraliser.
Mais j’apprécierai sincèrement qu’un tel cas ne se reproduise plus. Et ce n’est pas difficile, il suffit de séparer clairement la modération de la participation. Et sans fausse excuses :
Citer :
souvent, cela fait un moment que mes collègues me demandent de fermer le fil
C’était peut-être valable lorsque chaque modérateur gérait son propre forum, ce n’est plus le cas maintenant, s’ils ont quelque chose à dire, ils le font, sans avoir à demander l’autorisation de Narduccio ou de qui que ce soit, me semble-t-il.
Mais encore une fois, même si ça peut y ressembler, je n'ai pas l'intention de lyncher Narduccio, qui dans 99% des cas fait du bon travail. Sur des centaines de messages de modération, seul celui-ci me pose problème, et est susceptible de se reproduire visiblement. Un modérateur a le droit d'être contredit quand il raconte des âneries, et modéré même si nécessaire, il n'est pas au-dessus du lot. Cela a été rappelé ci-dessus, visiblement admis même par Narduccio. Pour cela, il n'y a pas 36 solutions, juste séparer modération et participation. Comme cela se pratique.