Chef chaudard a écrit :
Voir le site de F. Delpla.
François Delpha a écrit :
Churchill prétendait que l’Angleterre ne s’était pas interrogée une seconde, au moment de la défaite de la France, sur l’opportunité d’une poursuite de la guerre en solitaire, mais s’était cabrée comme un seul homme devant le défi hitlérien. Pendant longtemps, aucun historien n’a mis en doute cette affirmation qui, à vrai dire, arrangeait beaucoup de monde, et pas seulement en Grande-Bretagne.
La défaite de la France c'est le 22 juin, la suite de l'article ne remet pas en cause cette affirmation de Churchill puisqu'il relate des principalement faits antérieurs à cette date. Quand ils eurent connaissance de l'armistice signée par les Français, les "appeasers" anglais savaient à quoi s'en tenir avec Hitler.
Vis à vis des Britanniques, à la chambre des communes Llyod George disait le 8 mai à Chamberlain : "It is not a question of who are the Prime Minister's friends. It is a far bigger issue. The nation is prepared for every sacrifice so long as it has leadership, and so long as the Government show clearly what they are aiming at, and so long as the nation is confident that those who are leading it are doing their best » (Churchill, SGM)
PS. Ceux qui publient dans une revue historique devraient un peu plus respecter le lecteur. Est-il nécessaire d'utiliser le style bistrot ?