Cernach a écrit :
Ainsi, chacune d'elle semble avoir une cause différente. C'est pourquoi la théorie de Nemesis ne tient pas la route.
Mais il faut faire attention aux contextes géologiques et climatiques de chacun de ces « deep impacts ». Un impact majeur ne peut avoir le même effet à chaque fois, pas à 30 Ma de distance, avec des masses d’air couplées différemment aux masses océaniques, et une disposition géographique différente.
Un impact majeur qui aurait lieu maintenant ferait sans doute peu de dégâts, attendu que la biosphère actuelle st déjà épuisée sous la double contrainte d’un cycle glaciaire long de déjà 2 Ma, et d’une prédation intense depuis sans doute 50000 ans. Plus les effet de la néolithisation puis de l’agriculture industrielle (érosion et eutrophisation), en n’oubliant pas d’ajouter à la recette une bonne pincée de métaux lourds (depuis Rome, et oui). Une rasade d’armagnac ne serait pas de trop !
Cernach a écrit :
Il y en a d'autres [extinctions], comme celle de la fin de l'ère glaciaire qui a tué de nombreux animaux habitués au froid.
Bref no future les gars !
Non en fait un impact maintenant nous ramènerait sur une glaciation intense rapidement. Mais je rappelle ici que notre interglaciaire si confortable aurait du se terminer il a trois cent ans environ. Le forçage climatique actuel est une aberration. Ou alors c’est le baroud d’honneur avant la glaciation !