C'est curieux cette idée que le fait de se taper sur la figure puisse être un des moteurs de l'évolution anatomique du visage.
D'abord on ne sait absolument rien de la fréquence à laquelle les hominidés, à toutes époques, se tapaient sur la figure à coups de poing.
Ensuite, il y a une hypothèse concurrente qui me paraît aussi valable : les chutes face contre terre. Là au moins on peut être certains que ça se produisait forcément avec une certaine régularité, à toutes époques, et sans dépendre de facteurs sociaux.
Bon c'est ma contribution scientifique spontanée...

mais je n'ai pas passé 10 ans à étudier le sujet.