Duc de Raguse a écrit :
[...] et d'une série Les brigades du Tigre.
Excellente, je la regardais aussi quand j'étais petite - et vous m'avez collé le générique en tête !
Duc de Raguse a écrit :
Qui sait ?
L'avenir nous le dira !
Je rejoins également la remarque de Jean-Marc, chacun trouve son compte dans la diversité de sujets et d'objets d'étude que propose l'Histoire. Pour ma part, cela a commencé très récemment, et sur des sujets très ciblés.
Ensuite, l'exemple sur le coton est bien choisi pour illustrer le fait que les détails peuvent ouvrir sur des considérations d'ordre plus général, et être très révélateurs sur une époque.
Duc de Raguse a écrit :
Rassurez-vous, j'ai des collègues masculins qui adorent ce genre de thématiques, je n'ai jamais bien compris, mais bon.
Ce fut bien entendu une calembredaine de ma part pour illustrer finalement que l'intérêt pour les différents thèmes d'étude en histoire ne dépend pas forcément de son sexe.
Même si le métier - enseignant-chercheur comme enseignant - est bien trop masculin à mon goût, ce qui est fort dommage.
Oui, même si des généralités peuvent être parfois observées, elles n'en restent pas moins des généralités. De plus, donner l'origine de ces phénomènes de "préférences" liées aux sexes, sans tomber dans de la politique de bas étage, n'est pas simple.
Alors, dans le milieu enseignant que j'ai fréquenté... Patrick Juvet ferait bien de revenir pour nous écrire une version "où sont les hommes ?" parce qu'ils sont rares !
Pour la recherche, j'imagine que cela dépend des domaines. Pour l'instant, je remarque une certaine mixité - mais ça reste dans un domaine précis.
Tant que les personnes savent pourquoi elles sont là, et qu'elles apportent une contribution bénéfique, je trouve que tout cela n'a pas fondamentalement d'importance.