Vous abordez le ridicule.

Fialin

Credo quia absurdum, écrivait Tertullien.
Le ridicule de la religion pourrait donc bien être une preuve de l'existence de Dieu.

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"La censure ne pourra jamais être rétablie." (Article 7 de la charte constitutionnelle du 14 août 1830)

Moi je califierais l'église catholique de secte ou de philosophie parce que vous avez vu leur coutumes!Et en plus la plupars des catholiques se font baptiser, font leur communion et hop tranquille!

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.

Cette question s'adresse à qui, en fait ?
Si c'est à Darius, j'ai quelque mal à déceler où vous avez trouvé de la subtilité dans son intervention car le terme "secte" n'a pas une définition très précise et a surtout un caractère polémique. Il est en fait impossible de définir précisément ce qui distingue une secte et une religion. Il y a aussi des gens qui ont des comportements sectaires en dehors de tout cadre religieux. Donc dire que la religion catholique serait ou non une secte n'apporte pas grand-chose. C'est d'ailleurs en soi un propos très sectaire

Si c'est la subtilité de ma réponse qui vous échappe, peut-être qu'en vous fournissant la traduction de la phrase de Tertullien vous comprendrez un peu plus.
Credo quia absurdum se traduit par "Je crois parce que c'est absurde".

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"La censure ne pourra jamais être rétablie." (Article 7 de la charte constitutionnelle du 14 août 1830)

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.

Personnellement je ne vois pas l'intérêt des églises gonflables en France, vu que chaque village dispose d'une véritable église en pierre, et dans les grandes villes chaque quartier dispose généralement d'au moins une église. Je ne croit pas que dans un rayon de 30 bornes autour ne n'importe quel point de France on ne trouve au minimum une église. De plus je croyais que Dieu était partout et qu'il n'y avait pas besoin de lieu spécifique pour lui parler ni pour prier, qu'une église était simplement un plus, par exemple le pape fait la messe à Rome de son balcon.

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Le sage n'affirme rien qu'il ne puisse prouver. proverbe latin

Cette affaire d'églises gonflables concernait l'Angleterre, lieu du reportage en tous les cas. N'oubliez pas que nous aurons pour septembre des mosquées et des synagogues....

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.

Ca veut dire quoi " les coutumes " et "leurs" c'est qui ? les catholiques ? Mais de quoi sommes-nous coupables ?
Je vous rappelle qu'avant de se christianiser la gaule pratiquait encore des sacrifices humains... L'Eglise a imposé le mariage par consentement mutuel aux sociétés de clans, elle a interdit de tuer son prochain, de le voler etc. ces lois sont encore en vigueur dans nos sociétés occidentales, faut-il revenir dessus ?
ce serait un sacré retour a l'obscurantisme... quoique vous en pensiez.

Une secte prive de liberté, les catholiques sont-ils privés de liberté ? Personellement si quelque chose me prive de liberté aujourd'hui c'est pas l'Eglise mais plutot l'Etat ou meme l'Europe...

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"Le droit du Prince nait du besoin du peuple." (Pierre BOUTANG)

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VIVE L'EMPEREUR !!!
Hypolite.

... Ce sont les romains qui ont interdit le druidisme dans les Gaules, du fait des sacrifices humains il me semble: l'Eglise ici n'a pas eu grand chose à faire! Par contre en Europe, les saxons, les prussiens et co, ok!

Alors, l'attitude de Charlemagne suffit a justifier les "coutumes" de l'Eglise qui en font aujourd'hui une secte ?
Il ne faut pas confondre l'attitude de l'Eglise et celles de ceux qui prennent prétexte sur Elle pour assouvir des fins politiques, c'est un amalgame qui peut aller loin, c'est comme la différence entre Islam et fondamentalisme...
De toutes façons aujourd'hui, on ne peut pas dire que l'Eglise soit une secte.

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"Le droit du Prince nait du besoin du peuple." (Pierre BOUTANG)

Il y a toujours eu dans l'Eglise catholique des courants contradictoires. Des hommes de pouvoir ont régulièrement essayé de la récupérer à leur profit pour imposer leur domination. A l'inverse, d'autres hommes y ont apporté la subversion au nom du retour aux vraies valeurs de l'Evangile. A une époque où en principe, tous les habitants de la Chrétienté faisaient partie de cette Eglise, c'était en son sein même que se développait ces formes de contestation, parfois en partie acceptées et assimilées (François d'Assise, Thérèse d'Avila, Fénelon...), souvent rejetées et fermement condamnées (Luther, Joachim de Flore, Jan Hus, Pierre Valdès, Jansénius...).
Il n'existe donc pas de solidarité véritable entre l'ensemble des catholiques et les erreurs de leur Eglise. La question ne se pose pas vraiment en termes de tout ou rien. Les catholiques n'ont pas à assumer la totalité de l'histoire ni même de la doctrine qui est loin d'être aussi clairement délimitée qu'on ne le pense d'habitude.
Toutefois une question réelle se pose quand on examine l'histoire de l'Eglise. Comment l'Eglise du Christ a-t-elle pu à certains moments s'égarer à ce point ?

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"La censure ne pourra jamais être rétablie." (Article 7 de la charte constitutionnelle du 14 août 1830)