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Message Publié : 04 Août 2006 20:51 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 04 Juin 2006 12:47
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Qqun a t'il lu la bio de Doriot par Wolf?
Si oui, qu'en pensez-vous?
Les souvent excellentes ref. bibliographiques sont une des choses les plus appreciables sur ce forum.


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Message Publié : 07 Nov 2006 18:26 
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Jean Mabillon
Jean Mabillon

Inscription : 04 Juin 2006 12:47
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Relisant le livre de Ory, ''Les collaborateurs'' je tombe sur une phrase comme quoi Doriot, en juin 40, aurait songé a un putsch et aurait sondé Schleier en ce sens.
Je ne me souviens plus d'avoir lu quoi que ce soit dans ce sens dans le livre de Brunet, mais un oubli est toujours possible.
Avez-vous lu ailleurs quelque chose confirmant ce qu'avance Ory :?:


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 Sujet du message : Pourquoi tant de Confusion?
Message Publié : 01 Juil 2007 13:40 
Le fascismes est multiple comme la République: et le Nazisme est aussi spécifique que la Shoa.
Mussolini est destitué par le gouvernement italien !!!!
Franco sauve les Juifs sepharades par milliers en Hongrie et en Méditerrannée :passeports espagnols délivrés par les amabassadeurs aux Juifs originaires d'Espagne en 1492...
L'autoritarisme ne suffit pas à définir le(s) fascisme(s). En effet!
Bon, il faut encore Lire et Lire....avant de dire n'importe quoi, mélangé à n'importe quoi...


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Message Publié : 10 Mai 2012 1:33 
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Thucydide
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Inscription : 05 Déc 2010 19:54
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Alors que presque toute l'Europe bascule dans des régimes autoritaires de droite ou de gauche, pourquoi la France y résiste presque seule avec quelques exceptions comme le Royaume-Uni ?

Je m'intéresse aux tendances dans la population : il n'y a pas eu de grand parti de tendance fasciste capable de percer en France alors que les nazis ont été élus par exemple.

Mais on peut évidemment citer les institutions. J'ignore si celles de la France étaient plus équilibrées que celles de l'Allemagne par exemple.

Le sujet aurait peut-être davantage sa place dans le forum entre-deux guerres mais je me demandais s'il n'y avait pas des exemples de changement de régime non imposés de l'extérieur pendant la guerre.


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Message Publié : 10 Mai 2012 7:35 
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Inscription : 20 Juin 2003 22:56
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Localisation : Provinces illyriennes
Il est vrai que votre sujet aurait davantage sa place dans l'Entre-deux-Guerres. :wink:

Si vous entrez dans la comparaison entre les institutions françaises et allemandes, il va de soi que de profondes différences sont visibles entre les deux et peuvent, en partie, expliquer une meilleure "résistance" française.

La République de Weimar est jeune (1919) et malheureusement ce sont les cadres du régime wilhelmien qui demeurent en place dans les grandes fonctions régaliennes (justice, armée, finances, etc.). Qui plus est la population a un sentiment d'humiliation face aux conditions drastiques du traité de Versailles. La légende du "coup de poignard dans le dos" - donné par les révolutionnaires, qui ont proclamé la République en novembre 1918 - ne facilite pas l'enracinement du régime dans la conscience collective.
Pour autant, de 1924 à 1929, on peut voir une stabilisation du régime républicain et un début optimiste de "normalisation". La crise touche ensuite de plein fouet l'économie allemande, très exposée aux retraits des capitaux américains et dont l'économie est en pleine mutation structurelle.
Placés ensemble, ces deux vecteurs constituent du pain béni pour le NSDAP, qui parvient à faire vaciller les fondations d'un régime républicain trop peu ancien et solide pour y résister à long terme. Encore que, la droite conservatrice entre 1930 et 1932 va tenter de conserver le pouvoir en gouvernant par décret-loi afin d'éviter l'entrée des nazis au gouvernement. Malheureusement, cette pratique sera pour certains le prélude - dans la pratique constitutionnelle - à la future dictature hitlérienne et la confiscation du pouvoir par un parti unique.

En France - malgré les demandes de révision des Lois constitutionnelles de 1875 dans les années 1920 et 1930 de la droite au profit d'un exécutif plus fort -, la tradition républicaine est ancienne et le régime semble enraciné solidement dans la société depuis les années 1880-1890.
La crise plus tardive (Laval sauve encore la Livre Sterling en 1931 et Paris demeure la première place boursière d'Europe, lieu refuge des investisseurs avant la tempête !) - mais aussi plus durable... - et plus pernicieuse ne donne pas aux ligues d'extrême-droite ou à l'Action française un strapotin suffisant pour destabiliser le régime (malgré les journées de février 1934, assez pitoyables finalement pour les ligues...).
La France aussi, par sa victoire de 1918, n'a pas de revanche à prendre, elle a gagné la guerre et devient la première puissance politique continentale. A ce titre, la population connait moins de frustation que son homologue d'outre-Rhin et cela ne se traduit pas par des votes vers l'extrême-droite.

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Un peuple sans âme n'est qu'une vaste foule
Alphonse de Lamartine


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Message Publié : 10 Mai 2012 8:46 
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Georges Duby
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Inscription : 27 Juil 2007 15:02
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N'existe t-il pas dans l'histoire de l'europe entre les deux guerres une polarisation entre communisme et extrême droite ?
L'Allemagne à la fin de la PGM connait des troubles d'extrême gauche, de même que l'Espagne dans les années 30 (en simplifiant les enchainements), l'italie.
Par contre la GB mais aussi les pays nordiques font peu de place à l'extrême gauche et du coup la démocratie résiste mieux et ne génère pas par enchainement une extrême droite électorale.
La France a eu la chance de résister aux extrêmes, probablement grâce à la réussite de son parti socialiste qui stabilise le régime et l'ancre dans la démocratie, en marginalisant le PC ?
Le cas allemand ne peut servir d'élément de comparaison dans l'entre deux guerres en raison de ses caractéristiques anormales après le désarroi de l'après-Versailles, les troubles communistes, une crise économique, sociale et politique hors du commun.

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Message Publié : 10 Mai 2012 9:57 
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Jean Mabillon
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Inscription : 07 Sep 2008 15:55
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Je compléterais le propos d'Alain G sur la SFIO par une remarque sur la solidité de l'ancrage républicain et démocratique dans la gauche française (parti radical qui reste influent en province et SFIO). Oeuvre de Jaurès probablement.

Au-delà de la question institutionnelle, il y a aussi l'importance du patriotisme (qui n'est pas incompatible avec le pacifisme) : or la victoire de 1918 montre que la République démocratique (à la différence de l'Empire par exemple et en opposition au régime semi-aristocratique du IIè Reich) est tout à fait capable de gagner une guerre ! Les Patriotes (et ils sont la quasi-totalité de la population) ne détestent pas le régime, en dehors de quelques extremistes, bruyants mais marginaux.

La particularité italienne est que malgré le rattachement de Trente et Trieste, les nationalistes (et une large partie de l'opinion) sortiront frustrés de cette guerre - avec quasiment une psychologie de vaincus qui attendent la revanche ! cela ouvrira la voie au fascisme dans un pays où la monarchie parlementaire est mal enracinée.


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Message Publié : 10 Mai 2012 10:49 
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Localisation : Provinces illyriennes
Citer :
L'Allemagne à la fin de la PGM connait des troubles d'extrême gauche

Certes, mais à aucun moment cela ne destabilise véritablement le régime. Ce qui n'est pas le cas de certaines tentatives de putsch d'extrême-droite, comme le putsch de Lüttvitz-Kapp en 1920.
L'attitude de von Seeckt - le cadre du régime wilhelmien par excellence - est particulièrement troublante à ce moment : il refuse d'envoyer l'armée allemande sur ces corps francs rebelles en déclarant que "l'armée ne tire par sur l'armée".
Des assassinats politiques comme celui d'Erzberger - qui portait la lourde reponsabilité d'avoir signé l'armistice et au passage d'être juif... - en 1921 par des membres de l'organisation Consul (bras armé d'un corps franc), dont les coupables ne sont pas trop inquités par la justice, montre que le danger pour la jeune République vient plutôt de l'extrême-droite que de l'extrême-gauche.

Citer :
en marginalisant le PC

Les partis communistes français et allemand se marginalisèrent seuls, en suivant la stratégie suicidaire du komintern contre tous les "sociaux-traîtres". Ils n'ont eu besoin de personne.

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Message Publié : 10 Mai 2012 13:13 
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Philippe de Commines
Philippe de Commines

Inscription : 17 Mars 2004 23:16
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Marginalisé, marginalisé ...

Aux élections de 1924, 1928 comme 1933, le PC tourne autour de 10% des voix. Il est isolé, oui, mais son score est déjà très significatif, bien plus que celui des mouvements d'extrême droite.


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Message Publié : 10 Mai 2012 14:07 
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Georges Duby
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Duc de Raguse a écrit :
Citer :
L'Allemagne à la fin de la PGM connait des troubles d'extrême gauche
Certes, mais à aucun moment cela ne destabilise véritablement le régime.
Si, au début à mon avis quand des conseils ouvriers naissent et que le mouvement révolutionnaire s'étend, mêlant des spartakistes et des socialistes classiques.
Puis il y a une évolution qui écarte les extrémistes de gauche, mais dans un contexte de grèves générales, de combats avec les corps francs comportant à la fin des massacres d' insurgés.
Après la semaine sanglante de Berlin une répression des insurgés se déroule dans toute l' Allemagne. On compte 1200 morts du 9 au 13 mars 1919.
C'est grâce à l'aide de l'armée, qui intervient massivement début 1919 avec ses chars et ses avions, que les socialistes du SPD réussissent à controler la situation. Ils interviennent partout ce qui montre bien l'ampleur du danger révolutionnaire.
Hitler va faire du danger communiste son fonds de commerce, les nazis feront plus tard la chasse au bolchevique dans la rue, en public.
Le nazisme se construira à partir du danger bolchevique magnifié même si ce danger a en réalité été assez rapidement maitrisé par les socialistes, je suis d'accord sur ce point.
L'armée de son côté se servira aussi du passage à gauche du pouvoir dès 1918, il s'agit cette fois du SPD, pouvoir qui signe l'armistice et la paix, pour forger le mythe d'une gauche qui a trahi, un mythe équivoque comme on sait car la guerre a bien été perdue à l'ouest et l'état-major a recherché la paix avant de se retirer de toutes négociations pour ensuite s'en offusquer.

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Message Publié : 10 Mai 2012 14:12 
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Certes, mais aucune combinaison ou alliance avec un autre parti n'est possible au Reichstag pour la KPD. Dans un régime parlemantaire avoir 10% et adopter la stratégie du komintern revient à dire qu'on existe pratiquement pas. A ce titre la DNVP, largement hostile au début des années 1920 (moins à la fin, puisqu'elle pratique une abstention "bienvaillante" aux partis de gouvernement) au nouveau régime et flirtant avec les 20% est bien plus dangereuse que la KPD.

En France la SFIC oscille entre 2 et 5% dans les années 1920.
Comme "danger" on aura vu pire...

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Message Publié : 10 Mai 2012 14:28 
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Localisation : Provinces illyriennes
Citer :
Si, au début à mon avis quand des conseils ouvriers naissent et que le mouvement révolutionnaire s'étend, mêlant des spartakistes et des socialistes classiques.

Cela ressemble davantage à un feu de paille qu'autre chose.
Depuis qu'Ebert a rassuré Groener le 10 novembre au téléphone (ce dernier lui assurant au passage la fidélité de l'armée, ce qui n'est pas rien), liant ainsi les "révolutionnaires" avec les cadres de l'ancien régime, tout débordement sur la gauche de la SPD était voué à l'échec.
Ebert hésita longtemps et lorsqu'il ne pouvait plus modérer l'USPD et les Spartakistes, il usa de la force par l'intermédiaire de son ministre Noske.
Le reste du Reich rentre dans le rang progressivement.
Je trouve que vous surjouez le "danger communiste". Le seul risque pour le gouvernement était que la population suive massivement les appels des révolutionnaires par la grève générale ou par des soulèvements violents. Pareilles choses ne se sont pas produites.
Noske opère un "nettoyage" systématique des diverses zones insurgées - en s'appuyant d'ailleurs sur les corps fancs (péché originel de la jeune République...) - et en mai 1919 tout se termine à Munich.

Citer :
Hitler va faire du danger communiste son fonds de commerce

Ce "fond de commerce" fonctionnera surtout dans les villes ou zones qui ont connu des soulèvements en 1918-1919, moins ailleurs. La tactique des violences de rue (partagée avec les SA) opérée par la KPD à la fin des années 1920 et du début des années 1930 dans les grandes villes d'Allemagne aura davantage d'impact sur l'électorat que les soulèvements de 1918-1919.

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Message Publié : 10 Mai 2012 18:07 
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Georges Duby
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Il est exact qu'avec le recul, on est un peu sidéré du comportement de l'appareil communiste, quand par exemple au Congrès de Tours de 1921, Blum refuse l'adhésion du parti socialiste à la IIIè Internationale et d'accepter les 21 conditions posées par Lénine dont la 15è, la soumission du programme à Moscou, ce qui déclenche la scission.
Ou encore qu'en 1933 Thorez à la Chambre déclare: " vive la libre disposition du peuple d'Alsace-lorraine, jusques et y compris la séparation d'avec la France! "
Le PC décline en 1924, de nombreux adhérents rejoignant un PS en essor, avant d'être relançé par la crise en 1935.
Sur l'extrême droite en France entre les deux guerres, n'est-elle pas surestimée ? Beaucoup de bruit et de manifestations mais peu d'élus en définitive. La République reste solide avec son scrutin d'arrondissement. Les mouvements fascistes français sont presque ridicules. Ils servent d'épouvantail. Pas de chefs efficaces. Les médias amplifient leur importance. Ils n'ont pas comme en Allemagne l'armée avec eux ni de grands moyens.

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Message Publié : 10 Mai 2012 18:20 
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Localisation : Provinces illyriennes
Citer :
Sur l'extrême droite en France entre les deux guerres, n'est-elle pas surestimée ?

Autant que le parti communiste en Allemagne. :wink:
C'est vrai que les ligues d'extrême-droite ne représentent pas grand chose sur l'échiquier politique, voire même pratiquement rien.
Par contre, idéologiquement et intellectuellement certains auteurs ont le vent en poupe. Un Maurras est toujours aussi influent, malgré la condamnation de l'Eglise. Une influence qui remonte déjà aux années 1900 dans les groupes estudiantins.

Edit : dans mon post précédent, j'ai écrit Erzberger en pensant Rathenau concernant les faibles poursuites à l'encontre de ses assassins (bien que les deux furent assassinés par les mêmes...), pour la confession religieuse aussi.
Ceux qui connaissent bien l'Allemagne de l'Entre-deux-Guerres auront corrigé seuls.
Voilà ce qui arrive lorsqu'on écrit trop vite ! :oops:

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Alphonse de Lamartine


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Message Publié : 12 Mai 2012 11:10 
Bonjour,
J'arrive un peu tard sur ce fil mais je remarque ceci :
Wanderlei a écrit :
alors que les nazis ont été élus par exemple.

Si les nazis ont eu beaucoup d’élus en Allemagne, il convient de rappeler que la prise du pouvoir et la mise en place de la dictature hitlérienne ne repose pas sur une élection mais sur un acte de terrorisme absolument illégal, a savoir l'incendie du Reichstag.


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