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JARDIN DAVID a écrit :
... mais avec des taux qui n'ont rien à voir, pour les mêmes lieux, avec la détermination des défenseurs français de 1914 ou ... celle des Allemands de 1944.
Le "matériel" n'a-t-il pas changé ?
Faut-il comprendre que plus il y a de morts, plus le soldat est "engagé" ?
Peut-on dire que les conditions du conflit sont du même ordre ? Se bat-on pour "récupérer un dû" (Alsace-Lorraine en 1914) ou est-ce un conflit est peut-être moins "évident" ?
Citer :
- on note parfois de bruyantes satisfactions à l'annonce de la fin des combats. Un exemple avec H FRENAY qui signale des "farandoles dans les sous-bois" autour du Donon.
Et lors de la fin de conflit(s) en général, la joie n'est pas au rendez-vous lorsque la fin des combats est annoncée ?
Citer :
Les forces morales du soldat français...
Comment évalue-t-on la force morale d'un soldat ?
De plusieurs ?
De ceux dont "c'est le métier" ? Ceux-ci -dont c'est le métier- sont-ils entraînés à une "force morale" ?
Si oui, peut-on écrire que le soldat n'a pas cet avantage ?
L'Allemagne en son état depuis 1919, avec ses multiples structures para-militaires, une volonté -dans la population quelle soit estudiantine ou autre- de s'engager dans de multiples mouvements que l'on retrouve parfois sur le terrain (lors de la présence française considérée comme "occupante"), la volonté d'une revanche -tel le soldat de 14- pour ce qui est considéré comme une "infâmie" ne pouvait-elle qu'offrir des hommes -non seulement persuadés d'être supérieurs dans la chose militaire- mais d'un moral "d'acier", doublé par un système "d'acier" ?
Citer :
à Sedan, ...
Peut-on comparer l'engagement de 1870 côté France à celui de 1939 ?
Un conflit, fruit d'un régime impérial et de ses errances à un second conflit où -il me semble- la force de frappe, la propagande (on décline) sont tout de même assez différentes sont-ils comparables pour évaluer les hommes ?
Si oui, on peut donc comparer les conflits sous Louis XV avec ceux de la Révolution ou encore du premier empire sans erreur ?
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