Bertrand50120 a écrit :
Ce qui renforce la notion de "Carte postale" tout au moins dans le style et ce qui écarterait définitivement l'histoire des gibets sauf si ceux-ci faisaient partie du quotidien de la ville mais même si il y avait un lieu d'éxécutions publiques certainement pas à demeure et en si grand nombre.
Pour ma part, je continue de penser à des infrastructures de construction. Elargissement des remparts de la ville.
Il y avait un lieu où les fourches patibulaires étaient dressées à demeure, mais ce n'était pas là du tout. En effet, cette extension des remparts figure sur les cartes, mais je n'ai pas trouvé d'explication précise sur cette curieuse extension fermée. Pas même dans l'atlas historique de Lyon fraîchement sorti.