Corlin a écrit :
la duplicité du premier consul avec une frange extèmement « dure » du patronat de l’époque !!
D'aprés l'histoire et le dictionnaire de Paris d' Alfred Fierro, qui a fait un énorme travail sur les archives de Paris dont il est le conservateur à la ville de Paris, Napoléon s'est toujours beaucoup inquiété de la situation des ouvriers, pratiquant en cas de chômage une politique de commandes de l'Etat et de grands chantiers et en cas de hausse des prix sensibles, le pain notamment, le blocage des prix, quitte à mécontenter les commerçants.
De ce fait, " le monde ouvrier demeurera très fidèle à Napoléon jusqu'à sa chûte".
Au pire moment en 1815, quand il est abandonné de tous, dans l'indifférence des parisiens, des milliers d' ouvriers des faubourgs défilent devant lui aux Tuileries. la seule manifestation de soutien qu'il ait alors reçu! Manifestation impressionnante dira un observateur anglais!